KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire – L’Afrique est le seul continent au monde où les populations chantent, dansent et applaudissent ceux qui les appauvrissent, les affament et les torturent : Le malheur de l’Afrique est d’avoir rencontré la France; By; Aimé Césaire (Le plus grand combat des Noirs/Africains se situe dans leurs esprits, mais la clé est en eux; seul le combat des esprits peut libérer les Noirs/Africains); « Quand ces spectacles inutiles prendront-ils fin, peuple Noir/Africain ? Ces pseudo-traditions animalisent tout un peuple; l’important n’est pas le respect de la tradition, mais l’image projetée par cette soi-disant tradition qui tend à rabaisser tout un peuple/continent » … (VIDÉO)
Devoir de Mémoire – En Afrique, certains dirigeants se prétendent à la tête de républiques, mais rêvent d’un pouvoir perpétuel et incontesté au sommet de l’État; Idriss Déby, interrogé sur la longévité du pouvoir chez les chefs d’État Noirs/Africains, l’ancien président tchadien l’admet et livre ses quatre vérités à la France : L’une des vérités longtemps ignorées concernant la longévité du pouvoir en Afrique est que la politique Africaine est une arme qui tue l’avenir de l’Afrique; nous succédons à des imbéciles et sommes remplacés par des incompétents, (l’Afrique ne sera développée que par les Noirs/Africains eux-mêmes, et non par d’autres); « La différence entre les anciens et les nouveaux esclaves Noirs/Africains réside dans la nature des chaînes, mais tous sont enchaînés; la seule différence est de savoir si les chaînes sont matérielles ou spirituelles » … (VIDÉO)
Devoir de Mémoire – La politique occidentale envers l’Afrique reste la même de génération en génération, de régime en régime. Les Blancs/Occidentaux ont toujours su protéger leurs intérêts en Afrique : Lorsque leurs intérêts sont menacés, c’est alors qu’ils passent à l’offensive. Que vous changiez ou non vos constitutions, cela n’a aucune importance, cela ne change rien pour les Blancs/Occidentaux (les années de guerre en Angola n’ont jamais empêchéle pétrole angolais de suivre son cours normal; pas une seule goutte n’a été perdue ou détournée); « Les Noirs/Africains doivent regarder dans le rétroviseur et comprendre qu’à aucun moment ces hommes n’ont souhaité le bonheur des Noirs/Africains sans s’ingérer dans leurs affaires; (La singerie Nègres – Pourquoi seuls les Nègres devraient-ils singer les Blancs/Occidentaux?) »

Réflexion

Julius Soubise (1754-1798), est né esclave à Saint-Christophe (Saint-Kitts) en 1754; il fut acheté à l’âge de 10 ans en envoyé chez la duchesse de Queensbury, une sexagénaire excentrique et humaniste « La duchesse le mit en pension chez le maître d’armes Domenico Angelo; outre une formation d’escrime très poussée, Soubise reçu également des cours de violon, d’équitation et de comédie »

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L’indemnité imposée par la France à Haïti en 1825, sous le ministère Villèle, un Toulousain ultra-réactionnaire qui était aussi le gendre d’un riche esclavagiste réunionnais : Madame Desbayssans, la France exigea d’Haïti, sous la menace d’un escadron de 14 navires de guerre destinés à une reconquête armée avec la restauration de l’esclavage, une fabuleuse « Indemnité », de 150 millions de francs-or

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Toussaint Louverture est né esclave (1743-1803) sur l’habitation Bréda au Haut du Cap français dans la partie française de Saint-Domingue (aujourd’hui République d’Haïti) : dans ce domaine, propriété du comte de Noé, Toussaint occupe des fonctions de confiance – cocher et palefrenier – et bénéficie de la protection de l’homme qui gère la plantation en l’absence du propriétaire « Bayon de Libertat »

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La tragédie du fils Christophe : Fernand Christophe, le fils aîné du général Henri Christophe, avait été envoyé à Paris par son père au printemps 1802 pour y poursuivre ses études, en signe de loyauté envers la France alors qu’un semblant de paix avait été signé avec le général Leclerc, après la résistance menée par Christophe aux côtés de Toussaint-Louverture durant l’hiver et le début du printemps 1802

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