Kadhafi a pratiqué l’étape de redistribution de la libération en nationalisant le pétrole, la richesse pour soutenir des programmes de protection sociale progressistes pour tous les Libyens. Avant le colonel Kadhafi, le roi Idris a essentiellement laissé Standard Oil écrire les lois concernant le pétrole libyen. M. Kadhafi a mis fin à tout cela. L’argent des revenus pétroliers était déposé directement sur le compte bancaire de chaque citoyen libyen.
Sous le régime de Kadhafi, les Libyens bénéficiaient non seulement de services de santé gratuits, mais également d’une éducation gratuite et ouverte, de l’électricité gratuite et de prêts sans intérêt. Le plus grand crime de Kadhafi, aux yeux de l’OTAN, a été son désir de placer les intérêts de la main-d’œuvre locale au-dessus du capital étranger en rejetant les politiques néolibérales du FMI et de la Banque Mondiale.
En fait, en août 2011, le président Obama a confisqué 30 milliards de dollars à la Banque centrale de Libye, que Kadhafi avait destinés à la création du (FMI Africain) et de la Banque centrale Africaine. Kadhafi a été assassiné par l’Occident au moment où un programme continental de raffinage des minerais a été lancé, ce qui aurait considérablement modifié l’équilibre économique entre l’Afrique et l’Occident.