Le pape Léon X doutait de l’histoire de Lazare, voici ce qu’il a dit à propos de l’histoire de Lazard. Il y a un Lézard à la résurrection de Lazare. (Selon l’évangile de Jean chapitre 11,Lazare vit à Béthanie avec Marie et sa soeur Marthe, quatre jours après sa mort et son enterrement, il serait sorti vivant du tombeau par l’ordre de Jésus). « Comment un miracle aussi surprenant, au grand jour et en public, aurait-il pu échapper aux contemporains de l’époque ? »
Jean est le seul sur toute la planète à en parler. Et pourquoi les représentations chrétiennes de la résurrection de Lazare le montrent-il debout à la porte de son tombeau, comme une momie égyptienne ?? Il ne fait aucun doute que cette histoire est un plagiat de la résurrection allégorique d’Osiris par Horus dans des textes anciens Noirs/Africains/Égyptiens.
Texte des pyramides :
Livre de la sortie du jour. Dans les textes sacrés des Noirs/Africains de la vallée du Nil (Égypt), datant de plusieurs milliers d’années avant l’arrivée du peuple hébreu dans l’histoire. (Jésus se rend jusqu’à Béthanie pour ressusciter Lazare des morts. Marie et Marthe la sœur de la Momie se trouvaient présentes).
Le rédacteur de l’évangile attribué à Jean ne prendra même pas la peine de changer les noms. Lazarus vient du grec Lazarus, qui n’est que la déclinaison hébraïque d’El’ Azar (« EL » est le mot hébreu pour Dieu). Asar était le nom égyptien d’Osiris, le nom Osiris est la forme grecque d’Asar. Asar = El’Zar = Lazare = Lazare. (Beth-Anu = Maison d’Anu).
- Nom de la cité où sera ressuscité Asar (Osiris), devient Bethanie – (Beit-Anyah en Hébreu) = Mmaison de l’affligé;
- Nom de la cité où sera ressuscité Lazare Aset (Isis) la sœur de la momie (Asar/Osiris), devient Marthe la sœur de la momie (El’Azar/Lazare);
- En effet, Marthe, Maria ou Myriam ne sont pas des noms juifs, bien au contraire ça dérivé de l’Égyptien (Mry), prononcé qui veut dire (l’Aimé) Mary amen = l’aimé d’Amen. Mary Re = l’aimé de Re;
- L’épithète de Mary était aussi employée à Isis. Le pluriel de (Mary) est (Merti), comme pour désigner les deux sœurs (Isis et Nephertys). En latin Mertea, en hébreu et en Germanique en italien Marta.
Pour les Noirs/Africains de l’époque pharaonique, cette histoire était une allégorie pour décrire un phénomène astronomique, celui de la trajectoire du soleil à travers la constellation de Sirius. En réalité, depuis l’Égypte ancienne, les religions extra-africaines n’ont que très maladroitement plagié une science Noire/Africaine/Égyptienne, restée très longtemps secrète.
Cosmothéologie : il n’y a jamais eu de prophètes, ni de révélations, car ce sont les cycles solaires qui indiquent depuis le ciel profond, le cadre théologique que les hommes doivent suivre, et la période référentielle concernée.
By, Professeur Omoutunde K. dans « Cosmogenese Kemite » tome 2 P : 98.