Selon l’étude intitulée (La relation entre intelligence et religiosité), les enfants les plus intelligents sont ceux qui s’éloignent le plus des préceptes religieux. Une étude portant sur le niveau de croyance de 1 500 enfants surdoués montre que ces sujets, même âgés, avaient un niveau de religiosité inférieur à celui de leurs coreligionnaires, mais qu’entendent-ils par intelligence ? C’est la capacité de raisonner, de planifier, de résoudre des problèmes, de penser de manière abstraite, de comprendre des idées complexes, d’apprendre rapidement, précisent les psychologues.
D’autres chercheurs dénoncent une définition trop étroite de l’intelligence. Quelle place reste-t-il à l’intelligence créative et humaine ?? Bien que le lien (négatif) entre l’intelligence et la foi ne soit pas vrai dans toutes les études, le document émet l’hypothèse que les croyances religieuses sont irrationnelles, non ancrées dans la science et, par conséquent, peu attrayantes pour les personnes intelligentes. « La seule religion acceptable pour l’homme est celle qui lui apprendra d’abord à reconnaître, aimer et servir passionnément l’univers dont il est l’élément le plus important. (La place de l’homme dans la nature) ».
Déçu par les hommes, Martin Fayulu se confie au Dieu d’Israël (maudit soit l’homme qui se confie à l’homme, béni soit l’homme qui se confie au Dieu d’Israël). Il est possible que Martin Fayulu ait compris le sens de ce passage des soi-disant écritures saintes (la Bible). Dans sa déception face aux élections présidentielles de 2018, après avoir sollicité l’aide d’hommes de tous horizons sans trouver de solution, Martin Fayulu s’est confié au Dieu d’Israël; bien malheureusement à travers un autre homme !
Martin Fayulu, le candidat malheureux, a eu la bénédiction du pasteur américain T.D. Jackes, pour le dossier (vérité des Urnes), après le service à l’église (The Potter’s House Church) à Dallas. Le pasteur américain T.D. Jackes a promis à Fayulu qu’il mènerait (son dossier, sa cause devant le Dieu d’Israël).
En effet, Fayulu s’est adressé à la Cour constitutionnelle : sans obtenir de victoire; il s’est adressé à l’Union Africaine : sans réponse favorable; il est allé chez ses oncles belges (Noko), et n’a rien trouvé comme solution à son problème; il a saisi l’Union européenne : celle-ci n’a donné aucune suite à sa demande; il est allé chez les Américains (Oncles Sam), toujours sans solution; il a porté son dossier devant l’ONU, qui n’a pas pu résoudre sa situation. Personne, donc personne, ne lui a donné le pouvoir qu’il recherche.
Finalement, ne sachant vers quel saint se vouer, Fayulu décida de confier son affaire au Dieu d’Israël. Et cette fois, on espère que sa victoire est assurée.