KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire : Les Noirs/Africains invoquent les ancêtres des oppresseurs en oubliant les leurs, telle est l’origine de la politique adoptée aujourd’hui (avec cette politique, le colon sadique a imposé ses croyances politiques, scientifiques et même spirituelles aux Noirs/Africains au point que les Noirs/Africains ont perdu la culture de l’apprentissage/du savoir); « La curiosité d’apprendre a disparu et elle est actuellement remplacée par la peur coloniale, autrement connue sous le nom de blasphème; (Tout cela puisque les Noirs/Africains sont infectés, empoisonnés par la culture coloniale arrivée par bateau (Christianisme et Islam) »
Devoir de Mémoire – Mensonges bibliques : la Bible est inspirée des mensonges, qui grouillent en son sein, la liste ne serait même pas exhaustive si on les citait un à un; (d’après la soi-disant Bible, Hérode aurait entendu des rumeurs selon lesquelles il y aurait un soi-disant fils de Dieu d’Israël en gestation dans le sein d’une vierge et qu’il viendrait prendre sa place, celle du roi des Juifs; « Hérode décide alors de massacrer tous les nouveau-nés, de pauvres innocents dans toute la province »
Devoir de Mémoire – Le sophisme du mythe d’un Jésus Noir : l’histoire d’un Jésus Noir est aussi fausse que celle de ce personnage, qui n’est pas différent de son homologue judéo-chrétien ; cette histoire, adaptée et calquée sur le bric-à-brac, s’appuie sur la cosmologie des sciences et l’histoire Noire/Africaine; « Alors, d’où vient l’idée et l’hypothèse selon laquelle certains Noirs/Africains revendiquent la propriété du christianisme sur le modèle européen ? Utiliser l’iconographie Noire de Jésus et de la Vierge Marie collectée dans le monde entier est aussi ridicule que burlesque »

Humiliation et Aliénation

Le code Noir : un véritable crime contre l’humanité; étroitement lié à l’esclavage et à la traite Négrière, le « Code Noir » est le titre donné à l’ordonnance royale de Louis XIV ou à l’édit royal du mois de mars affectant la police des îles de l’Amérique française, puis aux édits similaires de 1723 sur les Mascareignes et de 1724 sur la Louisiane, et enfin, à partir du milieu du XVIIIe siècle, aux recueils de textes juridiques relatifs aux colonies françaises

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A ceux qui croient en l’avenir de l’Afrique : l’Afrique peut encore se relever, il n’y a aucune raison pour que tout un Continent et ses habitants soient condamnés à une fatalité « Il suffit que les Noirs/Africains, où qu’ils soient dans le monde, chérissent et caresse le rêve de voir leur continent redevenir les cendres de la splendeur du reste du monde »

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