Les textes médicaux les plus anciens connus au monde proviennent du continent Noir/Africain et ces papyrus fournissent des étapes détaillées de leurs méthodes scientifiques dans lesquelles le mot Heka était clairement utilisé d’un point de vue scientifique, plutôt que d’un point de vue magique.
Heka se traduit également par activation du son (Ka), et il était également considéré comme un concept scientifique, notamment dans l’étude de l’énergie de (Ka), souvent traduit par (âme ou esprit), et qui est un domaine dans lequel on peut voir clairement son association avec un phénomène électrique qui sert à animer l’étincelle de vie immortelle qui réside en chacun.
Heka était également utilisé pour décrire le processus de sculpture, de statue, d’écriture ou autre construction d’une structure importante, et lorsqu’il était utilisé comme verbe, cela signifiait; (quelque chose que vous pourriez faire, quelque chose que vous pourriez être ou quelque chose que vous pourriez concevoir); un concept que des observateurs extérieurs et des non-initiés qui ne connaissaient rien aux processus et méthodologies médicales reliant le corps à l’esprit, ont mal compris et ont finalement tout traduit par quelque chose (Magie).
Alors que dans son contexte Noir/Africain, Heka a toujours été utilisé pour désigner des pratiques analogues au génie biomédical, au génie civil, au génie des matériaux et aux techniques de construction, le mot Heka doit donc maintenant être compris comme une ancienne forme Noire/Africaine du génie humain.
Chers frères et sœurs Noirs/Africains, un copiste est un professionnel chargé de reproduire des documents écrits ou des œuvres d’art. Ce métier est né de la nécessité de réaliser des copies de documents administratifs et de textes destinés à l’enseignement et à la propagation des connaissances, bien avant l’invention de l’imprimerie, puis de la photographie et d’autres moyens de reproduction.
Dans l’Égypte ancienne, les scribes transcrivaient d’abord puis copiaient les documents nécessaires à l’administration du pays et à d’autres travaux administratifs. À l’époque gréco-romaine, certains professionnels travaillaient pour le compte des éditeurs. Mais à Rome, le copiste jouait souvent le rôle de secrétaire.