Foreman malmenait son adversaire légendaire, mais quelques jours seulement avant le combat, Ali avait déjà acquis une certaine popularité locale. C’est pourquoi tout le stade s’animait au rythme des animations en Lingala : « (Ali – Boma ye; Ali – Boye; Ali- Boma ye! Qui veut dire, Ali – tuez-le; Ali – tuez-le, Ali- tuez-le …) ». Et il suffisait à Ali d’infliger un coup de maître à Foreman pour le mettre KO. Et ce fut la fin du combat. Il est le plus grand boxeur de tous les temps (…).
Je n’ai jamais laissé quiconque me conduire à douter de moi : l’avenir a plusieurs noms : « Pour les faibles, il se nomme l’inaccessible; pour les peureux, il se nomme l’inconnu; pour les courageux, il se nomme opportunité ». Mohamed Ali est de la race des intrépides, de ceux-là qui considèrent la fin d’une chose comme son commencement. Pour lui! Rira bien, qui rira le dernier!
Hommage à Mohamed Ali !