Lorsqu’il s’agit de science, ils effacent le passé scientifique de l’Afrique et disent que nos ancêtres Noirs/Africains n’ont jamais rien fait et étaient des barbares, mais lorsqu’il s’agit d’homosexualité et d’autres défauts, ils cherchent à partager la paternité de ces défauts avec l’Afrique et nous disent que nos ancêtres Noirs/Africains étaient adeptes de l’homosexualité comme leurs ancêtres de la Grèce antique. (Les plus méchants d’entre eux disent même que l’homosexualité est une invention Noire/Africaine puisque l’Afrique est le berceau de l’humanité, donc elle est aussi le berceau de l’homosexualité selon eux).
De telles positions ne peuvent s’expliquer que par la mauvaise foi. Cependant, lorsque l’on va en Grèce, on constate effectivement que l’on trouve sur des bâtiments anciens jusqu’à nos jours des peintures murales qui représentent des pratiques homosexuelles, des partouzes et des orgies. Des choses qu’on ne trouve nulle part en Afrique, pas même sur les murs des bâtiments égyptiens antiques.
À ce sujet, voici ce que dit Maurice Sartre, professeur d’histoire ancienne à l’université de Tours : Or, les pratiques homosexuelles font chez eux (les Grecs) partie des comportements sociaux habituels, et ne sont pas réservées aux rites initiatiques de la fin des temps. adolescence. La riche poésie érotique à la gloire des beaux garçons, fidèlement transmise par les savants de l’époque hellénistique à l’époque byzantine, n’a rien à voir avec la littérature clandestine. L’imagerie des vases attiques regorge de ces scènes qui exaltent l’amour masculin, sans complaisance, mais sans ambiguïté. Il s’agit de représentations licites, proposées à la vue de tous, sans gêne ni tabou, et destinées à ravir les sens des participants.
Pour s’en convaincre de la dimension homosexuelle, mais aussi de la glorification et de l’adoption de l’homosexualité comme valeur dans la Grèce antique, il suffit de regarder la photo liée à ce texte, qui n’est autre qu’une fresque murale grecque antique. D’ailleurs Platon, grand penseur de la Grèce antique, disait que (l’amour entre deux hommes est plus grand que l’amour entre un homme et une femme).