Notre lutte n’est pas de haïr ou d’aimer le colon, c’est juste une question de souveraineté et de survie. Nous sommes restés les habitants de l’Afrique et rendons grâce à nos ancêtres; « Les Amérindiens et certains aborigènes n’ont pas eu la même chance ».
Alors la meilleure victoire que nous puissions offrir à l’Afrique n’est pas de nous battre contre ceux qui se disent supérieurs à nous, mais d’œuvrer à redonner à ce continent sa gloire d’antan, de cohabiter dans la différence, de s’aimer d’un amour fraternel, et cultiver la tolérance.