KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire : le paganisme est-il mauvais/diabolique ? Est considéré comme païen toute personne qui n’est pas chrétienne ou toute personne qui pratique une religion autre que le christianisme ou toute personne qui pratique une religion polythéiste; « Partant de cette définition, les animistes, les musulmans, les judaïstes, les bouddhistes, les shintoïstes, les hindous sont mis dans le même sac »
Devoir de Mémoire – L’Occident et l’Afrique n’ont pas la même conception de l’avortement : l’avortement est une atteinte directe à la vie humaine, selon le militant Noir/Africain Obianuju Ekeocha, mais de l’autre côté de la mer, M. Dupont-Aignan, homme politique français, veut le contrôle des naissances en Afrique … (VIDÉO)
Devoir de Mémoire: certains spectacles sont déshonorants et indignes des Noirs/Africains, (voici une image choquante des élèves Noirs/Africains à l’école, tout ça c’est la faute du Christianisme et de l’Islam qui ont vendu le vent aux Noirs/Africains ); « Le péché commis par les peuples Noirs/Africains contre le Dieu de nos ancêtres, c’est de le chasser (le remplacer) par le Dieu des autres/le Dieu d’Israël, (voilà à quoi cela ressemble, vous voyez ? Et après, quand des malheurs surgissent, on dit – prions pour le Mali, prions pour le Kameroun, prions pour la Côte d’Ivoire, prions pour le Kongo; Etc) »

Nos Cultures

Devoir de Mémoire : le pape Jean-Paul II a-t-il été initié à la sorcellerie dite Noire/Africaine ? Mbuta Masse raconte son expérience dans le rituel vaudou, en 1985, le soi-disant Très Saint Père Jean-Paul II, a participé à un rituel vaudou au Togo, qu’en pensent les catholiques Noirs/Africains/Chrétiens ?? Voici comment Mbuta Masse raconte son expérience! Avant de rejoindre Bundu Dia Kongo (aujourd’hui Bundu Dia Mayala), j’étais particulièrement intéressé par les rituels authentiques Noirs/Africains, comme le vaudou; « Pour mes frères et sœurs de race appartenant à l’Église coloniale chrétienne, je ne suis qu’un sorcier, un adorateur de Satan, bref un antéchrist (…), car depuis plus de 20 ans j’invoque les divinités Noires/Africaines selon la pure tradition de Katiopa, (le Pays du Soleil Central, Sirius), comme le faisaient mes ancêtres Négro-Égyptiens »

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Devoir de Mémoire : la perversion chrétienne des sciences Noire/Africaine/Égyptienne, dans la spiritualité Noire/Africaine/Égyptienne le Neter (la réalité substantielle de Dieu) réside dans toute création, et toute création réside en lui; « Voilà pourquoi, il était nécessaire pour les prêtres Noirs/Africains/Égyptiens, d’étudier la création en utilisant les mathématiques comme méthode d’investigation exacte et rigoureuse de la Nature dans sa totalité, afin de découvrir tout ce qui existe, mais qui est caché, (une partie des mathématiques appelée géométrie sacrée a permis à nos ancêtres Noirs/Africains/Égyptiens, d’aborder la manière dont l’univers est ordonné et soutenu) »

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Devoir de Mémoire : le mythe des esclaves Juifs bâtisseurs de pyramides en Égypte est une grosse falsification de l’histoire, (l’Égypte a exposé une série de tombes datant de plus de 4 000 ans et appartenant apparemment à des ouvriers embauchés pour la construction des pyramides de Gizeh, contrairement au mythe populaire selon lequel ces les monuments ont été construits par des esclaves); « Ces sépultures en briques de boue séchée, d’une profondeur d’environ 2,75 m, contenaient une douzaine de squelettes parfaitement conservés par le sable sec du désert, à coté desquels étaient disposés des récipients ayant contenu de la bière et du pain destinés à la vie des morts dans l’au-delà »

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Devoir de Mémoire : Chez les Himba de Namibie en Afrique australe, la date de naissance d’un enfant est fixée, non pas au moment de sa naissance, ni à celui de sa conception, mais bien avant le jour où l’on pense à l’enfant, dans l’esprit de sa mère; « Quand une femme décide qu’elle va avoir un enfant, elle s’assoit et se repose sous un arbre, et elle écoute jusqu’à ce qu’elle entende le chant de l’enfant qui veut naître »

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Devoir de Mémoire : la femme dans la société Kongolaise, dans l’ancien Kongo, le mariage n’entraîne pas la perte de son identité clanique qui reste transmissible à ses enfants, (le mariage est un Libota, un espace de procréation l’homme a la jouissance de la femme il s’est marié en échange d’une dot pour compenser son départ, mais les enfants sont issus du clan de sa femme, et l’oncle maternel peut, au nom de son pouvoir avunculaire, venir prendre un neveu pour vivre avec lui, et faire un homme de lui); « La transmission de l’héritage d’un (décédé) pose souvent des problèmes car les Kongolais modernes sont désormais coincés entre la tradition et le droit moderne qui exige qu’un (Libota) soit une famille à part entière »

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