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Devoir de Mémoire – Maât : l’essence des mathématiques, (quiconque veut connaître la nature, l’essence et le but des mathématiques doit d’abord s’interroger sur sa source Noire/Africaine, plus précisément celle du scribe Ahemessou); « Son nom s’écrit en réalité (Ahmsu) en caractères hiératiques Noirs/Africains qui s’écrit naturellement sans toutes les voyelles prononcées, mais qui a été faussement prononcé à la manière arabe (Ahmès) par de soi-disant égyptologues qui par cet acte, ont profané autrefois ce texte sacré transcrit dans une écriture anciennement appelée Mdu Ntr »

Les apprentis égyptologues ont prouvé une fois de plus le fait irréfutable qu’ils étaient des ignorants totalement inconnus de l’Afrique ancienne, notamment de l’immense savoir de ce Noir/Africain qui est sans conteste l’un des premiers grands mathématiciens connus de l’histoire mondiale et l’un des tout premiers philosophes dans le domaine des mathématiques, qui a pourtant tant écrit sur les mathématiques, 17 siècles avant notre ère.

Selon le papyrus dit Rhind, copié par le mathématicien Kamite Iâhmesou il y a environ 3 650 ans, nous donne la définition suivante des mathématiques (Mâât-thématique) : la mathématique est la méthode correcte d’investigation dans la nature pour connaître (tout ce qui existe, chaque mystère, tous les secrets). Nous avions fait 35 ans de mathématiques à l’école sans avoir la moindre définition de cette science. Nous n’avions droit qu’à des formules du genre, (personne n’entre ici s’il n’est géomètre. Et un autre « Blablabla des Grecs miraculeux »).

Le Papyrus Rhind est un célèbre papyrus de la Deuxième Période Intermédiaire rédigé par le scribe Ahmes. Son nom vient de l’Écossais Alexander Henry Rhind qui l’acheta en 1858 à Louxor, mais il aurait été découverte sur le site de la ville de Thèbes. Depuis 1865, il est conservé au British Museum (à Londres). Avec le papyrus de Moscou, c’est l’une des sources mathématiques les plus importantes de l’Égypte ancienne.

Ahmes indique que son papyrus est, en partie, une copie de découvertes plus anciennes remontant à l’Empire du Milieu (vers 2000 avant JC). Le papyrus Rhind contient 87 problèmes résolus d’arithmétique, d’algèbre, de géométrie et d’arpentage, longs de cinq mètres et larges de trente-deux centimètres. Il est écrit en écriture hiératique.

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