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Devoir de mémoire : le système musical cosmique, (les peuples Noirs/Africains conscients du cosmos ont développé leur musique, et les notes de musique utilisées aujourd’hui, à partir du cosmos lui-même via un système autrefois connu sous le nom d’harmonie des sphères); « La compréhension de cette harmonie universelle, au sens astronomique et musical, a été confirmée par les premiers voyageurs grecs et romains comme par exemple Diodore de Sicile, dans son livre I (section 16) qui affirme; c’est Thot (Tehuti), selon les anciens Égyptiens qui furent les premiers à observer la disposition ordonnée des étoiles et l’harmonie des sons musicaux et leur nature »

Par ailleurs, cette relation intime entre l’astronomie et la musique se retrouve également dans la vie quotidienne et reste l’un des éléments les plus importants de la pensée Noire/Africaine, c’est pourquoi cette intimité avec la musique se manifeste dans tous les aspects de notre système culturel comme la relation entre les sept jours de la semaine, contenant les tons naturels de l’échelle diatonique et généralement les noms des sept planètes dont les applications ont été clairement exprimées par Dion Cassius (IIe siècle) dans ses volumes Histoire romaine, livre XXXVII (Sections 18, 19), qui déclare sans équivoque.

La coutume de rapporter les jours aux Sept Étoiles appelées Planètes a été instituée par les Égyptiens, et on la retrouve aujourd’hui parmi toute l’humanité, bien que son adoption par d’autres pays ait été relativement récente, bien que les Grecs de l’Antiquité ne l’aient jamais comprise, et même si elle est maintenant très à la mode pour l’humanité en général, même parmi les Romains eux-mêmes, mais pour les Égyptiens, c’était déjà une tradition ancestrale.

Si l’on part de la première heure en comptant les heures du jour et de la nuit, en attribuant le premier cycle à Saturne, le suivant à Jupiter, le troisième à Mars, le quatrième au Soleil, le cinquième à Vénus, le sixième à Mercure et le septième à la Lune, selon l’ordre des cycles observés par les Égyptiens, et si vous répétez le processus, couvrant ainsi les 24 heures entières, alors vous constaterez que la première heure du jour suivant arrive au Soleil.

Si vous continuez l’opération tout au long des 24 heures suivantes comme les autres, vous consacrerez la première heure du troisième jour à la Lune, et si vous procédez de la même manière pendant le reste, chaque jour recevra sa planète. C’était donc la tradition égyptienne ; mais pour reconnaître l’impact sur Terre des sons célestes, la Terre doit être vue comme immobile, au centre de toutes choses avec sept planètes qui nous impactent, les habitants de la Terre, allant de la plus proche à la plus éloignée : Lune, Mercure, Vénus, Soleil, Mars, Jupiter et Saturne, certains sur une orbite plus grande et d’autres sur une orbite plus petite, tournent plus ou moins rapidement.

La Lune, étant située le plus près de la Terre, est le corps qui se déplace le plus rapidement, produisant ainsi la note la plus aiguë. Tandis que Saturne, la planète la plus haute du ciel (et la plus éloignée de la Terre), produit le son le plus grave. Le mouvement des sept planètes est mélodieux. Le changement de vitesse, de direction, de distance orbitale et de taille des sept planètes produit alors les sept tons naturels connus sous le nom d’échelle diatonique (C, R e, Mi, Fa, G, La, Si).

C’est ainsi que fut établie par les anciens Égyptiens la relation entre les sept jours de la semaine et les sons harmoniques naturels de la gamme diatonique, conséquence directe de la musique céleste des sept planètes errantes.

By, Diodore de Sicile

Le système

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