Il a également été prouvé que les Dogon du Mali faisaient autrefois partie des anciens habitants de Kanaan et de Sumer venus de l’intérieur de l’Afrique puis de la vallée du Nil, qui étaient bien sûr tous descendants des Kamu (Hamu/Anu); les ancêtres mythologiques de tous les Noirs/Africains.
Aujourd’hui, on suggère que les Dogon doivent leur nom à l’ancienne divinité mésopotamienne et cananéenne mi-homme, mi-poisson également nommée (Dogon/Dagon), car outre la similitude étymologique, les Dogon du Mali en Afrique de l’Ouest étudiaient également les mêmes forces cosmiques appelées (Nommo), qui émergeaient de la constellation Sirius, de la même manière que le D’gon sumérien était également un Dingir représentant l’étoile Sirius. « Après leur expansion à travers Kanaan/Palestine, un scénario bien connu se répéta, à savoir lorsque les Métis Edomites se rangèrent du côté des Assyriens eux-mêmes devenus Métis, pour chasser par la même occasion les Kananéens Noirs/Africains vers Kémet, à l’instar des Hyksos originels (Bantous, Banu, Twa; Etc) ».
C’est ainsi que les disciples de D’gon continueront de migrer ou de retourner volontairement en Afrique de l’Ouest, où ils choisiront de conserver le titre de sacerdoce Dogon, expliquant peut-être pourquoi, dans les légendes Dogon, revient toujours le même thème, celui de leur fuite devant un ennemi à cheval et en grand nombre.