KONGOLISOLO
Actualité

Devoir de mémoire : le président français François Mitterrand est accueilli par son homologue Kamerounais Paul Biya, à son arrivée à l’aéroport de Yaoundé le 20 juin 1983 (l’ancien président français est venu régler la rupture entre Ahidjo et l’actuel président du Kameroun, (un visite officielle au Kameroun qui a duré deux jours, l’inimitié entre François Mitterrand et Amadou Ahidjo n’était pas un secret, l’ancien président français est même soupçonné d’avoir poussé Ahmadou Ahidjo vers la porte)

M. Mitterrand a ouvertement pris position en faveur de Paul Biya, alors président de la République du Kameroun pendant un peu plus d’un an : nous sommes à l’aise avec vous ! Le président socialiste a ajouté : Je vous apporte le salut de la France, votre ami ! Ces expressions sont pleines de sens. Les mots étaient bien choisis pour marquer la rupture avec l’ancien président qui avait alors élu domicile à Garoua, sa ville natale.

Malheur au peuple Noir/Africain qui a choisi la culture des barbares comme modèle. (Culturellement parlant, faute de repères, les peuples Noirs/Africains ont le malheur d’avoir comme modèle la culture des peuples Blancs/Occidentaux! Un peuple qui se distingue, culturellement, par la barbarie et les choses contre nature). « Malheur à vous, peuples Noirs/Africains, lorsque vous vous portez garants d’être, inconsciemment ou consciemment, les héritiers d’un peuple (sauvage, nudiste, animiste, barbare). Un peuple qui ignore sa sauvagerie et préfère qualifier les autres peuples d’arriérés, de nudistes, de non-civilisés, de sauvages, d’animistes. Ces mêmes peuples, (qui n’ont ni la peur de perdre leur estime, ni le respect du temple sacré du créateur qu’est le corps humain, ni le sens de la logique, ni le respect des autres peuples, ni le respect de la sexualité, encore moins le respect des lois de la nature) ».

Comment expliquer que vous, Noirs/Africains, puissiez vous offrir le luxe d’avoir pour modèle (un peuple plus bête que les bêtes ?) Ainsi, psychologiquement, intellectuellement et spirituellement, vous devenez immédiatement la copie de ce peuple pervers. Vous ne vivez que pour la suprématie de ce peuple sur vous-même.

Vous ne faites plus les choses pour votre propre intérêt ou votre propre évolution, ni pour l’intérêt et l’évolution de votre peuple, de vos frères et sœurs, mais plutôt pour son déclin et le maintien de sa destruction, de sa subordination, Etc.

Le président français

Articles similaires

Laisser un Commentaire