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Devoir de mémoire : le président Thomas Sankara reçoit François Mitterrand dans la pure tradition Négro-Africaine, avec un poulet et un mouton, lors de sa visite officielle au Burkina Faso, le 17 novembre 1986, (c’est ce que nous avons chez nous, dit-il) , Mitterrand, visite un marché local avec le président Sankara; « Chers Noirs/Africains, la mémoire est la base de la personnalité individuelle, comme la tradition est la base de la personnalité collective » … (VIDÉO)

Thomas Sankara, lorsqu’il a pris le pouvoir en Haute-Volta, son pays figurait parmi les pays dits les plus pauvres du monde, selon les soi-disant maîtres du monde, les Occidentaux. (le taux de mortalité infantile était estimé à 180 pour 1 000, l’espérance de vie ne dépasse pas 40 ans, et le taux d’analphabétisme s’élève à 98 % selon le soi-disant maîtres du monde, les Occidentaux).

Il impose alors des mesures radicales comme des opérations de vaccination (commandos) qui permettront, en quelques semaines, de vacciner 2,5 millions d’enfants contre (la méningite, la fièvre jaune et la rougeole), il recevra les compliments de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

L’héritage laissé par Thomas Sankara aux Noirs/Africains : Thomas Isidore Sankara a légué aux générations futures la verve et l’énergie de l’espoir, l’emblème de la probité et de la conscience historique déficitaire de l’inaliénabilité de la lutte contre toutes les oppressions, mais malheureusement aujourd’hui, certains de nos chefs d’État (Africains), reçoivent leurs soi-disant invités européens avec des valises remplies d’or, d’argent et de pétrole !

Thomas Sankara est un joyau du patrimoine historique Africain. L’héritage laissé par Thomas Sankara est inestimable. « L’espoir est un état d’esprit (…) c’est une orientation de l’esprit et du cœur (…) ce n’est pas la conviction que quelque chose aura une issue favorable, mais la certitude que cette chose a un sens, quoi qu’il arrive ».

Franchement, quand on voit des jeunes Noirs/Africains vendre leurs terres en Afrique, pour un visa européen ou américain, on pleure parce qu’ils ne connaissent pas la vérité. Et, les Noirs/Africains qui ont participé à la trahison de cet homme, leurs noms porteront à jamais une lourde responsabilité de génération en génération et nous savons que certains ne dorment pas bien, même en changeant de nom et de nationalité.

Peuples Noirs/Africains : Je crois en l’unité Noire/Africaine et je crois que cela se produira parce que nous avons en nous la force et la capacité de combattre l’impérialisme ! « La patrie ou la mort ? Nous vaincrons – Seule la lutte libère – Quand le peuple se lève, l’impérialisme tremble ».

By, Thomas Sankara

 

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