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Devoir de mémoire : fresques arabo-turques et poteries romaines, (Socrate et Aristote ont longtemps été décrits puis représentés ou dépeints comme des Afro-Grecs à la peau Noire ou très foncée par les Maures, les Arabes et les Turcs ! C’était bien avant que les Blancs/Européens, du Nord-Ouest ne deviennent les premiers partisans des Grecs); « Ce n’est qu’au XVIIIe siècle dans le nord-ouest de l’Europe (comme d’habitude) que les véritables images de Socrate et d’Aristote ont commencé à être cachées, complètement ignorées ou remplacées par de fausses images (Blanc-Rose) et dont la majorité ont été créées entre les XVIIe et XVIIIe siècles pour ensuite être frauduleusement mal daté »

L’histoire de la vie d’Aristote : L’histoire de la vie d’Aristote lui a fait bien plus de mal que de bien car elle évite soigneusement toute déclaration relative à sa visite en Égypte, que ce soit pour son propre compte ou en compagnie d’Alexandre. Ce silence de l’histoire jette immédiatement le doute sur la vie et les réalisations d’Aristote.

On raconte qu’il passa vingt ans sous la tutelle de Platon et qu’il sortit de cette tutelle comme le plus grand savant de l’Antiquité. Deux questions pourraient être posées : « Comment Platon aurait-il pu enseigner à Aristote ce que lui-même ne savait pas ? Pourquoi Aristote aurait-il passé vingt ans sous la tutelle d’un professeur dont il ne pouvait rien apprendre ??

Encore une fois, pour éviter tout soupçon sur le nombre extraordinaire de livres attribués à Aristote, l’histoire nous raconte qu’Alexandre lui a donné une grosse somme d’argent pour acheter des livres. Là encore, nous sommes dirigés depuis longtemps et trois constats s’imposent ici :

  • S’il s’agissait d’acheter des livres scientifiques, cela signifie qu’ils devaient être en libre circulation pour permettre à Aristote de se les procurer;
  • Si les livres étaient en circulation avant qu’Aristote ne les achète, et puisqu’il n’est pas censé avoir visité l’Égypte du tout, alors les livres en question devaient être en circulation et disponibles parmi les philosophies grecques;
  • Si les livres circulaient parmi les philosophes grecs, alors nous nous attendrions à ce que les sujets abordés dans ces livres aient été connus avant l’époque d’Aristote et on ne peut donc lui attribuer ni leur production ni l’introduction de nouvelles idées scientifiques.

L’attitude du gouvernement d’Athènes : Aristote construit sa propre bibliothèque avec des livres volés lors du pillage de la Bibliothèque royale d’Égypte par l’armée d’Alexandre le Grand.

Un autre point d’un intérêt considérable à prendre en compte est l’attitude du gouvernement athénien à l’égard de cette philosophie dite grecque, qu’il considérait comme d’origine étrangère et la traitait en conséquence. Une brève étude de l’histoire suffit à montrer que les philosophes grecs étaient des citoyens indésirables qui, tout au long de leur activité, furent victimes d’une persécution incessante de la part du gouvernement athénien.

Anaxagoras fut emprisonné et exilé; Socrate fut exécuté; Platon fut vendu comme esclave et Aristote fut inculpé et exilé, tandis que le plus âgé d’entre eux, Pythagore, fut expulsé de Crotone en Italie. Pouvons-nous imaginer les Grecs faire une telle volte-face, se réappropriant des enseignements qu’ils avaient d’abord persécutés et ouvertement rejetés ?? Certes, ils savaient qu’ils usurpaient ce qu’ils n’avaient jamais produit. Aristote est mort en 322 avant JC. Quelques années plus tard, il aida Alexandre à obtenir la plus grande quantité de livres scientifiques provenant des bibliothèques royales et des temples de Ta Meri et Ta Seti (Basse et Haute Égypte). Cependant, malgré un si grand trésor intellectuel, la mort d’Aristote a marqué la mort de la philosophie chez les Grecs qui ne semblaient pas posséder la capacité naturelle de faire progresser les sciences. Par conséquent, l’histoire nous enseigne que les Grecs se sont limités à l’étude de l’Éthique à laquelle ils ont également emprunté la notion africaine de Summum Bonum ou du Plus Grand Bien. Il faut mentionner ici les deux autres philosophes athéniens, je veux dire Socrate et Platon, qui sont devenus célèbres dans l’histoire en tant que philosophes et grands penseurs.

Chaque étudiant croit que lorsqu’il entend ou lit l’injonction (Connais-toi toi-même), il entend ou lit les paroles prononcées par Socrate, mais la vérité est que les temples Noirs/Africains avaient à l’extérieur des inscriptions adressées aux néophytes, et parmi elles figurait l’injonction (Connais-toi toi-même). Socrate a copié ces paroles des temples Noirs/Africains et n’en est pas l’auteur. Tous les temples à mystères, à l’intérieur ou à l’extérieur de l’Égypte, portaient ces inscriptions, comme les brochures hebdomadaires des églises d’aujourd’hui.

De même, tout écolier croit que lorsqu’il entend ou lit les noms des quatre vertus cardinales, il entend ou lit les noms des vertus déterminées par Platon. Il n’y a rien de plus trompeur car le système des Mystères Noirs/Africains contenait dix vertus et à partir de ces vertus, Platon a copié ce qu’on appelait les quatre vertus cardinales : (la justice, la sagesse, la tempérance et le courage). Il est en effet surprenant de voir comment, pendant des siècles, les Grecs ont été loués et honorés par le monde occidental pour les réalisations intellectuelles appartenant aux Noirs/AAfricains.

Les enseignements de Pythagore : une autre caractéristique de la philosophie grecque est le fait que la plupart des philosophes grecs ont utilisé les enseignements de Pythagore comme modèle et n’ont donc rien introduit de nouveau dans le domaine de la philosophie. Dans le système pythagoricien, on retrouve les doctrines :

  • Des Opposés;
  • De l’Harmonie;
  • Du Feu;
  • De l’Esprit, étant donné qu’il est composé d’atome de feu;
  • De l’Immortalité, exprimée en tant que transmigration des âmes;
  • Le Summum Bonum ou le but de la philosophie;
  • Et ces systèmes sont bien sûr reflétés dans les systèmes (d’Héraclite, Parménide, Démocrite, Socrate, Platon et Aristote).

Nous comprenons combien il est facile pour une nation ambitieuse et même envieuse de revendiquer un ensemble de connaissances secrètes qui la valoriseraient aux yeux du monde primitif. Cette absurdité est pourtant facilement reconnaissable quand on sait que la langue grecque a été utilisée pour traduire plusieurs systèmes d’enseignement dont les Grecs ne pouvaient se réclamer de la paternité. Il y a eu la traduction en grec des écritures hébraïques appelées la Septante, et le Nouveau Testament grec, résultat de la traduction de l’Évangile chrétien, des Actes et des épîtres en grec. Si tout le monde est d’accord sur ces traductions, ce n’est que la philosophie des anciens Noirs/Africains/Égyptiens traduite en grec qui connaîtra un sort aussi malheureux (un héritage volé par les Grecs).

La philosophie grecque est en quelque sorte un drame dont les principaux acteurs furent (Alexandre, Aristote et ses successeurs de l’école péripatéticienne et l’empereur romain Justinien).

  • Alexandre envahit l’Égypte, s’empare de la Bibliothèque royale et la pille;
  • Aristote construit sa propre bibliothèque avec les livres volés tandis que son école occupe le bâtiment de la bibliothèque et l’utilise comme centre de recherche;
  • Enfin, l’empereur romain Justinien supprime les temples et les écoles de philosophie, c’est-à-dire les mystères Noirs/Africains dont les Grecs prétendaient être à l’origine et pour lesquels ils avaient été faussement honorés pendant des siècles et considérés comme le plus grand des philosophes et des penseurs. Cette contribution a effectivement été apportée par les peuples Noirs/Africains et le continent Noir/Africain, mais pas par les Grecs et l’Europe.

On se demande parfois pourquoi les personnes d’ascendance Noire/Africaine se retrouvent dans les situations sociales dans lesquelles elles se trouvent. La réponse est assez claire. Sans ce drame de la philosophie grecque et de ses acteurs, le continent Noir/Africain aurait eu une réputation différente et aurait bénéficié d’un statut respecté parmi les nations du monde.

Cette position malheureuse du continent Noir/Africain et de ses peuples semble être le résultat d’une représentation inexacte des faits sur lesquels se fondent les idéologies raciales; par exemple, l’opinion largement répandue selon laquelle le continent Noir/Africain est arriéré, que ses peuples sont arriérés et que leur civilisation est également arriérée. Enfin, la malhonnêteté des publications relatives à la philosophie grecque devient flagrante lorsque, à dessein, le théorème du carré de l’hypoténuse est appelé théorème de Pythagore. Cela a permis pendant des siècles de cacher au monde la vérité qui méritait de savoir que les Noirs/Africains enseignaient les mathématiques à Pythagore et aux Grecs.

Chers frères et sœurs Noirs/Africains, lisez ces deux livres et vous comprendrez comment les Blancs/Occidentaux se jouent de nous, les Noirs/Africains : (L’aventure intellectuelle de l’homme et la religion égyptienne du professeur Henri Frankfort et Le monde méditerranéen dans l’Antiquité du professeur Eva Sandford).

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