Le roi Salomon n’avait-il pas raison lorsqu’il disait qu’il n’y avait rien de nouveau sur terre ?? Ce qui a été est ce qui sera, et ce qui a été fait est ce qui sera fait, il n’y a rien de nouveau sous le soleil (Ecclésiaste 1 : 9).
Si nos cartes et comptes bancaires, nos permis de conduire, et tous nos codes secrets nous sont utiles dans toutes nos opérations et actions, c’est parce que nos ancêtres avaient déjà développé le prototype du code barre.
Nos ancêtres Noirs/Africains/Égyptiens ont déjà tout fait pour le reste de l’humanité. Il n’y a rien de mieux que les inventions, tout ce que font les autres aujourd’hui ne fait que copier ce que nos ancêtres avaient déjà fait. Et puis ils nous disent que c’est à eux.
L’histoire Blanche/Américaine/Occidentale du code-barres : le code-barres aurait été créé par deux étudiants américains, Norman Joseph Woodland et Bernard Silver, qui cherchaient une méthode pour automatiser l’enregistrement des produits des fabricants. Leur idée était de combiner le système audio des films et le code Morse. Il s’agissait alors de scanner le code avec une lumière pour traduire les barres verticales en information. « Ils ont également l’idée d’utiliser des cercles concentriques au lieu de lignes verticales pour permettre la lecture du code dans toutes les orientations ».
Cependant, l’usage courant ne s’est produit qu’en 1973, suite à l’invention de l’UPC (Universal Product Code, CUP en français) le 7 octobre 1970, par George Laurer. C’est à lui que l’on doit l’ajout de chiffres sous les barres verticales pour identifier le produit. Ce codage remplacera donc les lignes concentriques, difficiles à lire en cas de fonds perdus d’impression.