Lorsque des milliers de citoyens ivoiriens sont descendus dans la rue pour protester pacifiquement contre cet acte d’agression néocoloniale, les troupes françaises ont ouvert le feu sur les manifestants, tuant plus de 56 personnes. « L’incident a été à peine couvert par les agences de presse (de la métropole). Certains des soldats impliqués ont ensuite été décorés pour leurs crimes par le président français Jacques Chirac ».
Après l’attaque de la base militaire française, les corps ont été jetés dans des sacs et immédiatement ramenés en France. Contrairement à la procédure standard, aucune autopsie n’a été pratiquée et les familles n’ont pas été autorisées à voir les corps dans les cercueils. L’une des familles a même enterré le mauvais corps et a dû l’exhumer pour le réinhumer. Plusieurs hauts magistrats ont démissionné de l’affaire en raison du refus du gouvernement de coopérer à l’enquête. Plusieurs hauts responsables militaires et juridiques ont confirmé la supercherie. Il n’a pas été démenti par les médias mais a été massivement sous-estimé et vite oublié.
Cela prouve le mépris criminel de l’élite dirigeante française pour les Noirs/Africains et pour les citoyens français également. Et il est peu probable que le gouvernement français soit jamais poursuivi pour haute trahison et crimes contre l’humanité en Côte d’Ivoire. Peu d’Européens le savent même, car les nouvelles sont totalement biaisées.