L’ancien président du Tchad, Idriss Déby, a déclaré que la France l’avait contraint à modifier la constitution pour se maintenir au pouvoir, et que c’est aujourd’hui cette même France qui ose le critiquer. « Les anciens esclavagistes utilisaient des chaînes physiques, mais les esclavagistes d’aujourd’hui utilisent des chaînes spirituelles, mentales et culturelles pour asservir leurs esclaves. Les esclaves du monde actuel n’ont pas de chaînes aux mains; ils sont dans le déni, tandis que les anciens esclaves fuyaient et résistaient à leurs maîtres. Mais les esclaves d’aujourd’hui sont comme des enfants innocents qui se livrent docilement aux mains des esclavagistes pour être libérés. Il suffit de briser les chaînes spirituelles, mentales et culturelles qui les aliènent ».
Le problème du Nègre de maison réside dans le fait d’être validé par le maître et de lui obéir servilement. Avez-vous déjà remarqué que le Nègre de maison se sent toujours en sécurité et en paix lorsque son maître est près de lui, et surtout lorsque celui-ci le tient par la main ? Pour de nombreux dirigeants Noirs/Africains, c’est un privilège d’être reçu par un dirigeant Blanc/Européen ou d’être en sa compagnie, car il faut voir l’enthousiasme avec lequel ces dirigeants Noirs/Africains, quel que soit leur rang, se précipitent, tels des serviteurs, pour se faire photographier avec leurs maîtres Blancs/Occidentaux.
Il était une fois Ali Bongo, que son âme repose en paix, et Idriss Déby Itno, que son âme repose en paix ! « Cela nous fait mal de voir l’histoire de la colonisation se réécrire sous nos yeux ! » s’exclamèrent les Africains qui avaient surpris ces deux soi-disant présidents Africains en train de parler de leur maître, Sarkozy. Savez-vous ce qu’ils disaient ?? Eh bien, lisez la suite :

- Ali : Oh ! Idriss ! Tu ne lui parles pas comme ça. D’ailleurs, baisse la main et la tête quand tu lui parles. On ne parle pas aux Blancs comme ça ! Et puis, sais-tu à qui tu t’adresses ?? À Son Excellence Nicolas Sarkozy, notre chef de file dans les relations Franco-Africaines. De toute façon, tant que tu lui parleras comme ça, je m’opposerai publiquement à toi. Bon sang ! On ne va pas venir ici et se moquer de sa position comme ça ! Baisse la tête ! J’ai dit !
- Idriss : Oh ! Petit Ali ! Ce n’est pas si grave ! Je suis arrivé au pouvoir bien avant lui. D’ailleurs, si ton père Omar Bongo Ondimba était encore en vie, il serait d’accord avec moi. Nous là, nous avons donné des valises d’argent et bien d’autres choses aux autorités françaises avant même que Sarkozy ne devienne président.
- Ali : Non ! Vieux Idriss ! Malgré ton ancienneté à la présidence, un nouveau président français, plus jeune que toi, peut te créer des problèmes à tout moment. Cela peut menacer ton pouvoir, voire ta vie. Nous devons faire preuve de réserve et de respect envers l’homme Blanc, et surtout envers les présidents français. De toute façon, l’attitude avec laquelle tu t’es adressé à Son Excellence le président Sarkozy peut mettre ta vie en danger tôt ou tard !
- Idriss : Ne t’inquiète pas, mon fils ! On va arranger ça !
- Questions : Ali Bongo n’avait-il pas raison ?? Quoi qu’il en soit, Idriss Déby est mort dans des circonstances qui restent floues. Dans quelles circonstances est-il mort sur le front, en tentant d’arrêter l’avancée des rebelles qui voulaient renverser son pouvoir ?? Aurait-il pu avoir des problèmes avec les dirigeants français qui ne voulaient plus de lui et souhaitaient le remplacer par son fils ??
Note : Ceci n’est qu’une blague. Ajoutons qu’à la suite de la vague d’indépendance des pays Noirs/Africains, Kwame Nkrumah, le premier président ghanéen, a rapidement compris les manœuvres des anciennes puissances coloniales, qui avaient instauré le néocolonialisme. La lutte doit se poursuivre pour la libération totale de l’Afrique… Vrai ou Faux ??

- F. Holland : Mais, Boni Yayi, tu n’avais pas besoin de porter les couleurs du drapeau français!
- Boni Yayi : Mais, Votre Excellence, j’aime la France. Mes ancêtres étaient des Gaulois, j’aime la Marseillaise, j’aime Paris, j’aime la Bible, j’aime les femmes Blanches. Ne faites pas attention à la couleur de ma peau, c’est juste le soleil qui m’a brûlé. C’est écrit dans la Bible, dans le Cantique des Cantiques. Voulez-vous les références ??
- F. Hollande : D’accord, Boni Yayi : tu m’as convaincu. Prenons une photo!
- Boni Yayi : Merci, Votre Excellence !
Boni Yayi, le Nègre de maison au drapeau tricolore : Pour diriger un système capitaliste, il faut une âme de vautour. Montrez-moi le capitaliste, et je vous montrerai le vampire. (By; Malcolm X).

Les délires des préfets des enclos coloniaux. Si vous voulez vivre les délires des chefs d’État Noirs/Africains, observez simplement leur comportement lorsqu’ils sont reçus en visite officielle par leurs maîtres Blancs/Occidentaux/; vous les verrez agir comme s’ils étaient au septième ciel. Pour de nombreux dirigeants Noirs/Africains, être reçus par des présidents occidentaux est un privilège et le signe qu’ils détiennent réellement le pouvoir, qu’ils sont acceptés, qu’ils sont forts.
Le moment le plus euphorique pour les dirigeants Noirs/Africains est sans doute celui où ils sont filmés et photographiés aux côtés de leurs homologues occidentaux. Car ces images seront diffusées à la télévision et tout le monde les verra.
L’Afrique devrait être le plus grand centre psychiatrique du monde, tant elle regorge de psychopathes, à commencer par ses dirigeants. Regardez M. Macky Sall, ce préfet de l’enclos colonial qu’est le Sénégal : il sourit comme un enfant qui retrouve son père après des siècles d’absence. Voyez comme il serre la main de son maître, Macron, président de la France, à tel point qu’il a même tendance à lâcher la main de sa femme.

Dioncounda Traoré et François Hollande ! Quand l’esclave se laisse berner par le maître, ça donne ça ! Mais ce qu’il oublie, c’est qu’à ce moment précis, alors qu’il se croit au paradis, le maître a déjà distribué les hectares de terres de la plantation où il le fera travailler dès le lendemain, sous le fouet. Ainsi, l’esclave qui croit que l’esclavage est terminé sera toujours humilié par le maître à la fin de son rêve.
En posant en photos avec François Hollande, on peut lire sur le visage de Dioncounda Traoré un sentiment de satisfaction et d’extase. Car pour lui, cela n’arrive pas tous les jours de se retrouver côte à côte avec son maître colon.
Grâce à ce geste, où Hollande lui prend la main et la lève, Traoré se sent légitimé par son maître aux yeux de tous les Maliens, ce qui ne l’empêche pas de se féliciter devant tous ses compatriotes. Pour votre information, Dioncounda Traoré est un homme d’État malien. Il a été président de l’Assemblée nationale du Mali de 2007 à 2012. Il a également exercé les fonctions de président par intérim de la République du 12 avril au 4 septembre 2013.

Les présidents Noirs/Africains sont-ils fiers de l’Union Africaine (UA) ?? Le 27 février 2014, François Hollande (alors président de la France) s’est rendu à Abuja, au Nigeria, pour une visite officielle. Profitant des cérémonies marquant le centenaire de la fondation du Nigeria, le président français a indiqué qu’il effectuait également ce voyage pour s’entretenir avec son homologue Nigérian, Goodluck Jonathan, mais le cadre de cette rencontre laissait à désirer.
En principe, derrière ces deux présidents, il aurait dû y avoir quatre drapeaux, et non trois ! Un président Européen arbore toujours le drapeau de l’Union Européenne (UE), mais où est le drapeau de l’Union Africaine ?? Les présidents Africains n’affichent pas souvent le drapeau de l’UA, sauf peut-être ceux qui occupent des fonctions au sein de l’organisation, mais pourquoi ??
Il semble que les présidents Africains accordent peu d’importance à leur organisation continentale (UA). Pourtant, ils étaient très attachés à l’OUA (Organisation de l’unité africaine). Kwame Nkrumah, Sékou Touré, Modibo Keita, Etc., valorisaient profondément l’OUA, à tel point que cette organisation a réussi à décoloniser les derniers pays Africains qui croupissaient encore sous la domination coloniale. Mais depuis que l’OUA est devenue l’UA, calquée sur le modèle de l’UE, il semble que l’organisation continentale Africaine ait perdu de son prestige. « Le problème notoire de l’homme Noir/Africain est son complexe d’infériorité face à l’homme Blanc ! »

