KONGOLISOLO
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Devoir de mémoire : un moment pour célébrer nos héroïnes Noires/Africaines, (il fut un temps où nos glorieux ancêtres nous envoyaient de grandes héroïnes, des femmes pas comme les autres, des femmes intrépides et insoumises, des femmes qui n’ont jamais cédé à l’oppression telle que) ; « Nzingah d’Angola, Yennega, la guerrière de Mosis, Nandi, Ndéla, Pokou, Néfertari, Makenda, Kimpa Vita, Kahina, Reine des armées ainsi que bien d’autres, (le continent Noir/Africain a été peuplé de femmes d’une rare beauté, mais toujours prêtes à tenir haut et à défendre l’étendard de nos ancêtres jusqu’au sacrifice suprême) »

Elles ont toutes, à un moment donné, porté sur leurs épaules l’espoir de tous les peuples Noirs/Africains. En plus de soulever les foules, de commander et de lancer des armées entières pour attaquer des ennemis redoutables, connaissant toutes les subtilités de la politique et du pouvoir, elles constituaient la dernière ligne de défense lorsque les hommes ne pouvaient plus le prendre.

Elles étaient des figures emblématiques dont tous les peuples Noirs/Africains du monde sont si fiers : (reines, princesses, prophétesses, voyantes; guerrières ou marronnes Noires/Africaines); dont les souvenirs ont été submergés par l’histoire eurocentrique au point que, lentement, mais sûrement, ces (femmes), au courage exceptionnel, sont oubliées, leur héroïsme mis à mal sans aucune autre forme de procès. « Raison pour laquelle nous n’avons pas le droit d’oublier de commémorer chacune d’entre elles, de leur rendre les hommages qu’elles méritent, mais surtout, nous devons remplir un noble devoir, celui de les célébrer régulièrement ».

C’est alors et alors seulement, qu’elles seront fières de nous et qu’elles inspireront toutes nos actions de libération et de grandeur. Cette attitude s’avérera être bénéfique pour les générations présentes et aussi pour celles à venir.

Un moment

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