En particulier les ressources dites stratégiques au cœur de l’économie mondiale; plus que quiconque, Kamerhe révèle les dessous de cette mafia internationalisée pour faire du Kongo un pays presque désarticulé. La Minusma ou l’occupation de l’Afrique via (l’ONU) en Afrique, avec un budget de 7,8 milliards de dollars, la vraie mission des Nations Unies.
Voici la liste des 58 pays contributeurs à la force militaire de la MINUSMA (Mission des Nations Unies au Mali) : On commence par tous les étrangers, pour voir qui a intérêt à autoriser l’occupation de l’Afrique en 2023, en faisant semblant de biper les propos déplacés, puis on s’autocensure, il y en a presque le double, soit 36 pays.
(Allmagne; Armenie; Autriche; Bangladesh; Belgique; Bhoutan; Bosnie-Herzegovine; Chine; Danemark; El; Salvador; Espagne; Estonie; États-Unis D’amerique; Finlande; France; Guatemala; Indonesie; Italie; Jordanie; Lettonie; Lituanie; Mexique; Nepal; Nouvelle-Zélande; Norvege; Pakistan; Pays-Bas; Portugal; Roumanie; Royaume-Uni De Grande-Bretagne; Irlande Du Nord; Suisse; Sri Lanka; Suede; Tchequie; Yemen; Cambodge).
La liste insensée des pays Noirs/Africains avec lesquels on espère collaborer sous la menace, on n’en est même pas sûr, mais bon, on n’y va pas trop loin :
(Benin; Burkina Faso; Burundi; Kameroun; Cote D’ivoire; Égypte; Éthiopie; Gambie; Ghana; Guinee; Kenya; Liberia; Mauritanie; Niger; Nigeria; Senegal; Sierra Leone; Tchad; Togo; Tunisie).
La zone occupée en Afrique va bien au-delà du Mali, du Kongo, du Rwanda, de la RCA (…) Bref, ils n’ont pas de limites et c’est une création de l’ONU qui date de 2012. L’actualité d’aujourd’hui annonçait le remplacement du départ des Hollandais par celui des Canadiens à la MINUSMA, il est très important de souligner que : Les populations sont contre cette occupation, beaucoup de civils meurent chaque jour, ils ne sont absolument pas pour la protection ou autres conneries, sinon ils seraient au moins bien accueillis par les populations.
Sous prétexte de Jihad, ils n’ont quasiment aucune explication à donner sur les pertes civiles. La presse déplore toujours les morts mensuelles du camp étranger. Bref, une autre situation obscure, pas assez combattue ni dénoncée au moins dans les médias.