En les torturant physiquement et moralement, mais aussi avec la complicité du gouvernement ivoirien, ne laisserait pas insensible les hommes épris de justice et d’humanité.
Ces enfants n’ont pas leur place dans les champs de café ou de cacao, mais leur place est dans les écoles. En exploitant les enfants ivoiriens, Nestlé hypothèque leur avenir. Et pourtant, chez eux, leurs enfants ne travaillent pas; ils vont tous à l’école. « On sait que les Blancs/Occidentaux n’ont pas encore renoncé à leur désir d’esclavage, mais qu’ils épargnent aux enfants leur attitude diabolique ».