Les chercheurs ont voulu déterminer si ces soupirs étaient volontaires ou déclenchés par un orgasme. En interrogeant un échantillon de 72 femmes sexuellement actives et hétérosexuelles, âgées en moyenne de 22 ans, sur la question de l’orgasme dans un premier temps, les femmes ont rapporté qu’elles l’avaient atteint d’abord par la masturbation, seules ou avec leur partenaire, puis par le sexe oral et enfin, la pénétration est la manière la moins courante d’avoir un orgasme.
Ensuite, l’étude montre qu’une femme gémit généralement avant et pendant l’orgasme de son amant et non pendant le sien. Une découverte qui renforce l’idée selon laquelle le sexe est toujours associé à un scénario idéal. Les femmes et les hommes agissent selon ce qu’ils supposent que l’autre attend d’eux plutôt que selon leurs propres souhaits.
D’une certaine manière, la femme encourage son partenaire à jouir en exprimant son plaisir, réel ou non, mais une femme qui a atteint l’orgasme se retrouve dans un état d’extase à tel point qu’elle n’a même pas le temps d’exprimer le moindre bruit pleure, mais se retrouve comme ayant atteint le septième ciel.
Alors crier au lit, c’est bien, mais encore faut-il que cela vienne d’un excès de plaisir, d’émotions et d’envie de faire l’amour ou d’avoir un orgasme.