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Devoir de Mémoire – Suède : Les chaînes d’esclaves, une spécialité suédoise des XVIIe et XVIIIe siècles. La Suède s’était spécialisée dans la fabrication de chaînes en fer destinées à enchaîner les esclaves Noirs/Africains, tant pendant la traversée transatlantique que dans les colonies Américaines; (De l’avis de tous les Noirs/Africains, les chaînes suédoises, réputées pour leur solidité, offraient un excellent rapport qualité-prix); « Chers frères et sœurs Noirs/Africains, n’essayez pas de changer l’avis de l’homme Blanc, nous devons changer notre propre mentalité/nos propres esprits et pensées; (vous ne pouvez pas changer la mentalité/l’état d’esprit de l’homme Blanc, et tout ce tapage pour faire appel à sa conscience est inutile; commencez par changer en vous-mêmes ce que vous voulez changer autour de vous) » … (VIDÉO)

L’esclavage des populations Noires/Africaines, pratiqué par les Européens, première ébauche de la mondialisation, a ouvert de nouveaux marchés. Ainsi, la Suède, directement impliquée dans la traite négrière et l’esclavage par le biais de sa colonie Américaine de Saint-Barthélemy, a joué un rôle indirect encore plus important. Nous n’aimons pas le changement, il nous fait peur, mais nous ne pouvons pas empêcher les choses de changer. « Soit nous nous adaptons, soit nous restons à la traîne. (La conscience des Européens et des Américains est en faillite, ils l’ont perdue il y a longtemps déjà) ».

Chers frères et sœurs Noirs/Africains, nous ne pouvons pas perdre notre temps à essayer de changer l’avis/l’esprit de l’homme Blanc. Nous devons changer notre propre regard/esprit les uns sur les autres. Nous devons nous considérer comme des frères et sœurs. Nous devons nous unir dans la solidarité et éviter la jalousie et la division. « Les colonialistes aiment dire qu’ils nous ont fait entrer dans l’histoire : aujourd’hui, nous allons démontrer que ce n’est pas vrai. Au contraire, ils nous ont sortis de l’histoire, de notre propre histoire, pour nous faire suivre leur trajectoire historique, en fin de compte, le récit de leur histoire ».

Amílcar Lopes Cabral, également connu sous le nom d’Abel Djassi (1924-1973), lors de la conférence de Dar es Salaam en 1965. Fondateur du Parti Africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC). Il fut assassiné en 1973 à Conakry par ses propres partisans, qui méritaient d’être pendus au camp Boiro !

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