KONGOLISOLO
Les facteurs déterminants du destin et de la réussite dans la vie : Le destin n’est ni inexorable ni inévitable; et la réussite tout comme l’échec dans la vie, d’ailleurs, ne sont pas déterminés une fois pour toutes selon certaines croyances, mais la réussite ou l’échec dépend des choix que fait chaque individu; « La vie est un professeur impitoyable, car elle vous examine d’abord avant de vous donner une leçon; (c’est la quintessence de cette lettre qu’un père a écrite à sa fille) » :
Devoir de Mémoire : Qu’est devenue la tradition Noire/Africaine post-esclavagiste – post-coloniale; (Voici l’illustration des deux chefs d’enclos coloniaux Noirs/Africains; et curieusement la femme s’agenouille devant les hommes qui croisent allègrement les pieds, et ils vous diront que c’est au nom de la tradition Noir/Africaine et que c’est ce que voulaient les ancêtres); « Cependant, avant que les arabo-musulmans et les judéo-chrétiens ne nous obligent à accepter leurs us et coutumes machistes, l’Afrique avait plus de respect pour la femme et ne pouvait permettre qu’elle soit humiliée de cette manière devant les hommes »
Devoir de Mémoire – Débat : Dérouler le tapis rouge devant quelqu’un, c’est faire de son passage une véritable cérémonie (la couleur rouge représente donc la solennité de l’événement); « Cela signifie aussi que la personne que nous accueillons est un invité prestigieux, ou du moins que nous lui accordons de l’importance, (Paul Biya ne sait plus rien faire sans qu’on lui déroule le tapis rouge) »

Culture générale

États Unis : voici pourquoi il faut relativiser au lieu de stigmatiser; vue de l’extérieur, l’Amérique est une superpuissance, une nation modèle au centre du monde (si bien, que le rêve américain se nourrit comme si les États-Unis étaient tombés du ciel et que tous les vestiges de souffrance, de pauvreté et de misère avaient complètement disparu); « La politique étrangère américaine est la championne de la stigmatisation »

Admi1

Par où commencer avant d’amorcer le cheminement de l’unité Africaine ? Si l’idéal d’Unité Africaine s’éloigne de plus en plus c’est parce que les nations Noires/Africaines et les peuples Noirs/Africains n’ont jamais su par où commencer, ils se sont vite perdues dans les théories politique, et économiques pour prétendre parvenir l’intégration politique et et économique dépourvue d’une véritable Unité Africaine; « À l’aube des indépendances Africaines, dans les années 60, l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), s’est beaucoup plus penché à la décolonisation du reste des pays Africains qui ployaient encore sous la colonisation européenne; et dans les années 2000, on a vu comment les dirigeants Noirs/Africains ont calqué l’UA (Union Africaine) sur le modèle de l’UE (Union Européenne) »

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Devoir de mémoire – Ahmed Sékou Touré : 25 août 1958, rencontre historique entre deux orateurs légendaires; « Lorsque Sékou Touré décida en 1958 de quitter l’empire colonialiste français et opta pour l’Indépendance de son pays, les élites coloniales à Paris étaient si furieuses que dans un acte de colère historique, l’administration française détruisit dans toute la Guinée, tout ce qui représentait, ce qu’ils appelaient (les avantages de la colonisation française) »

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Devoir de mémoire : la construction des infrastructures au Kongo Belge n’avait qu’un seul objectif, celui d’une économie de pillage, et de prédation systématiques; rien n’était prévu pour développer le Kongo; par contre tout était bien calculé dans le sens de faciliter le déplacement des matières exploitées, et cela au prix du sang des indigènes; « L’explorateur anglais Henri Morton Stanley, qui était au service du roi des Belges Léopold II et qui avait exploré le bassin du Kongo, déclara ceci : (Sans chemin de fer, le Kongo ne vaut pas un sou); c’est ainsi que le roi emprunta de l’argent à des hommes d’affaires dits Belges et à d’autres pays pour construire des infrastructures »

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Devoir de mémoire – un Nègre au service de la France : selon l’écrivain Alain Mabanckou, les Noirs de France ne doivent rien demander à la France, ils doivent plutôt remercier chaque jour la France de les avoir éduqués, civilisés, (ils doivent baisser leur têtes), ce sont eux qui ont vendu leurs frères & sœurs comme esclaves; « Je (Alain Mabanckou), ne conseillerai jamais à mon fils d’aller en Afrique (Kongo Brazza), car elle n’a rien à apporter; (Nègres de la maison) » 

Admi1

Devoir de mémoire : vous reconnaissez peut-être ces deux messieurs ! Il était une fois, en Côte d’Ivoire, (Charles Blé Goudé et Guillaume Soro), ces deux figures emblématiques et adeptes du mouvement révolutionnaire de gauche pendant des années depuis le campus (à l’université); ils ont fait pleuvoir et briller la scène politique ivoirienne; fins orateurs, maniant l’art de la rhétorique et de manipulation des masses, les deux acteurs socio-politiques vont développer le discours marxiste à travers les actions d’une certaine FESCI (Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire)

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