Les autres ne vous respecteront que dans la mesure du respect que vous leur montrez ou que vous vous imposez. D’où viennent les styles vestimentaires atypiques ?? L’aliénation vestimentaire est bien sûr tributaire des poisons Blancs/Occidentaux que de nombreux Noirs/Africains commencent à manifester ouvertement, c’est-à-dire à la portée de tous et sans vergogne.
Mes frères et sœurs Noirs/Africains, pour gagner, en termes de respect, il ne faut pas le décréter, mais plutôt le mériter. (Pour mériter le respect des autres, il n’y a pas quatre chemins; il suffit de commencer par se respecter soi-même). Alors allez-y et comprenez que la loi de la réciprocité s’applique également strictement au respect; car le respect est toujours mutuel et réciproque : « Je me respecte, vous me respectez, vous vous respectez, nous nous respectons. (C’est la loi ou la règle d’or du respect) ».
Savez-vous pourquoi le lion marche avec assurance (confiance), devant toutes les créatures, y compris l’Homme ?? C’est tout simplement parce que, de par sa nature, il a su imposer le respect. Il sait que pour quiconque, avant de l’attaquer, il faut y réfléchir deux fois. « N’en serait-il pas de même pour les femmes Noires/Africaines ?? Quiconque chercherait à les courtiser ne devrait-il y réfléchir dix fois ?? ».
La peau seule ne suffit pas à signifier que nous sommes Négroïdes : beaucoup de gens ont la couleur de peau Noire, mais cela n’a rien à voir avec la nature et les valeurs des peuples Noirs/Africains.
Comment reconnaître une Négresse qui vit en dehors de son paradigme ?? Lorsque nous affichons des tendances qui ne peuvent pas s’aligner sur les valeurs des peuples Noirs/Africains, alors nous sommes tout sauf Noirs/Africains. « Être Noir/Africain, c’est avant tout l’acceptation de soi et des valeurs intrinsèques du peuple Noir/Africain. (Si vous êtes Noir/Africain et que vous avez choisi de vous faire connaître de manière atypique, alors vous êtes déraciné de la culture Noir/Africain) ».
Lorsque nous quittons le chemin de l’élégance et prenons celui de l’extravagance, nous nous retrouvons alors dans « Un monde d’inconvenance, où les comportements choquants deviennent un mode de vie; (By, DKB) ».