Cela fait donc de l’Égypte ancienne (Kémet) le premier lieu d’enregistrement des arts martiaux en général et les arts martiaux faisaient partie du programme du système des mystères égyptiens antiques.
Deuxièmement, nous avons l’Olympiade de 564 avant JC et le Pankration trouvé dans les Jeux Olympiques de 648 avant JC, puis nous avons aussi les gladiateurs de Rome. « Pendant de nombreuses années, les érudits ont considéré les Grecs comme uniques parmi les peuples du monde antique parce qu’ils étaient les seuls à avoir fait l’expérience de la compétition sportive ».
En 1932 au plus tard, tous les savants auraient dû savoir que les anciens Égyptiens organisaient régulièrement des concours pour un public restreint. « En effet, le combat de l’année et les matraques des scènes de combat du temple funéraire de Ramsès III, à Médinet Habou ont été publiés dans l’édition Exemplaire ».
Au plus tard en 1932, tous les érudits auraient dû savoir que les anciens Égyptiens organisaient régulièrement des concours destinés à un public limité. « En effet, le combat de l’année et les bâtons des scènes de combat du temple funéraire de Ramsès III, à Médinet Habou, ont été publiés dans l’édition Copie ».
La plus ancienne trace écrite d’une compétition militaire est conservée dans l’un des chefs-d’œuvre de la littérature égyptienne, l’histoire de Sinouhé. « Source : Wolfgang Deckers, (Les sports et les jeux de l’Égypte ancienne) ».