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Devoir de memoire – Robert Powell : Je ne suis pas Jésus-Christ, je suis un acteur, un comédien britannique, je n’arrête pas de le dire et de le répéter au monde, notamment aux Noirs/Africains depuis 1977; « J’ai mal, et j’en ai marre de voir mes photos affichées dans les lieux (de culte, vos maisons et autres places pour être adoré et prier); J’ai juste fait le film pour gagner ma vie, alors que les gens (surtout des Noirs/Africains) cessent de m’adorer et de me prier; (Brûlez mes photos et adorez le seul vrai Dieu, le Dieu de vos ancêtres) »

La religion au nom de Jésus a été une arme puissante pour enraciner la domination de la race Noire pendant environ six siècles : les oppresseurs Blancs/Occidentaux ont travaillé pour façonner (les) l’esprit(s), des Noirs/Africains de telle sorte que cette torture psychologique et spirituelle; s’est perpétué de génération en génération sans que beaucoup de Noirs/Africains s’en rendent compte depuis.

Découvrez comment le nom de Jésus a provoqué l’esclavage. C’est au nom de Jésus Blanc, selon la conception de la suprématie Blanche, que l’esclavage est né, donc au sein du christianisme.

Voici la brève chronologie de l’instauration de l’esclavage :

  • Déjà en 1441, les premiers aventuriers portugais commençaient leur brigandage sur les côtes Noires/Africaines, 51 ans avant la soi-disant découverte de l’Amérique par les Européens, ce qu’on appelle le Nouveau Monde;
  • En 1454, le soi-disant pape Nicolas V ordonna au roi du Portugal de tuer et d’exterminer les Noirs/Africains;
  • Dans la foulée, l’esclavage des soi-disant païens et des athées fut autorisé en 1455 par l’Église catholique de Rome;
  • En 1457, le soi-disant Conseil des Cardinaux s’est réuni en Hollande pour établir comme juste et progressiste la servitude des Noirs/Africains à la peau Noire dans le but de leur conversion forcée au christianisme et sur le marché du travail, comme l’acquisition de biens personnels ou privés;
  • Au fil du temps, tandis que d’un côté certains esclaves tentaient d’opposer une certaine résistance, de l’autre il y avait des Blancs/Occidentaux, qui accordaient quelques privilèges à une poignée d’esclaves pour mieux contrôler et soumettre la majorité d’entre eux.

Pendant ce temps, les oppresseurs renforçaient cette puissante illusion psychologique contre les Noirs/Africains. Ce stratagème est toujours en vigueur car les esclavagistes et les oppresseurs le transmettent de génération en génération. Et c’est là que la religion agit et renforce la formation de cette symbiose psycho-religieuse et politique que nous observons encore aujourd’hui et qui fait encore des ravages dans l’esprit de nos peuples Noirs/Africains.

Les religieux oppriment gentiment tandis que les politiques usent de méthodes parfois brutales et souvent fallacieuses en jouant leur rôle dans le jeu du néo-esclavage et du néo-colonialisme.

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