Les prêtresses d’Inanna aidaient les autres dans leur développement personnel dans la sphère sociale de la vie, elles étaient les conseillères des princes, des rois, des nobles et étaient respectées par tous dans la société. Dans l’iconographie, la déesse Inanna se tenait toujours fermement derrière les hommes prospères car son soutien était la principale raison pour laquelle ces hommes d’affaires étaient prospères.
Il existe également un lien entre le prénom sumérien Inanna et le titre féminin ghanéen Nana, tous deux réservés aux femmes très respectées au Ghana et souvent propriétaires terriennes dans cette société. De plus, de nombreux Jamaïcains et Afro-Américains du Sud appellent encore Nana leurs grand-mères, qui sont généralement les matriarches les plus vénérées de leur famille.
L’ancienne Sumer fut absorbée par Akkad puis au fil du temps par Babylone jusqu’à ce que des étrangers influents, autrement appelés Grecs helléniques, appellent les Mésopotamiens, ce qui signifie littéralement (le peuple entre les deux fleuves), ce peuple qui avait tout obtenu de ses lointaines racines africaines puisque l’on sait aujourd’hui vers -2200 que Sumer fut envahie par les Indo-Européens.
Ces envahisseurs venaient de lieux situés à l’extrême Nord de ce qu’on appelle aujourd’hui (Iran, Turquie et Arménie), c’est-à-dire du territoire situé entre le Tigre et l’Euphrate, qui fut finalement envahi par les Kardashians qui mirent fin à la période babylonienne. C’est également à partir de cette époque que les prêtresses d’Inanna furent remplacées par les prêtresses d’Ishtar et c’est également à la fin de la période babylonienne que les prêtresses d’Ishtar furent appelées par de nombreux historiens du Proche-Orient les prostituées sacrées, qui les avaient classées en trois catégories différentes.
Bien que dans chacune d’elles elles étaient reconnues comme (les femmes de la nuit), mais pour la raison fondamentale qu’elles faisaient la plupart de leur travail en tant que Templiers la nuit.
