KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire : Il faut faire preuve de beaucoup de prudence lorsqu’on présente la vérité à l’homme Noir/Africain, qui n’a jamais entendu la vérité sur lui-même auparavant; (Nos frères et sœurs Noirs/Africains ont été tellement endoctrinés qu’ils risquent de rejeter la vérité lorsqu’ils l’entendent pour la première fois. C’est pourquoi il faut y aller progressivement, laisser le temps à la vérité de s’imprégner, avant de passer à l’étape suivante); « Au début de l’année 1965, Malcolm X avait été invité par la communauté Noire/Africaine de Paris à participer à une conférence. Malheureusement, il n’a pas pu s’y rendre, car il a été refoulé à l’aéroport de Paris sous la présidence de De Gaulle, et à la demande des autorités Américaines » … (VIDÉO)
Devoir de Mémoire – Le président Thomas Sankara reçoit François Mitterrand selon la pure tradition Négro-Africaine, avec un poulet et un mouton, lors de sa visite officielle au Burkina Faso le 17 novembre 1986 : « Voilà ce que nous avons dans notre pays », a-t-il déclaré. Mitterrand visite un marché local en compagnie du président Sankara; (Chers peuples Noirs/Africains, la mémoire est le fondement de la personnalité individuelle, tout comme la tradition est le fondement de la personnalité collective); « Lorsque Thomas Sankara est arrivé au pouvoir en Haute-Volta, son pays figurait parmi les pays les plus pauvres du monde, selon les soi-disant maîtres du monde, les Blancs/Occidentaux » … (VIDÉO)
Devoir de Mémoire – Le président français François Mitterrand est accueilli par son homologue Kamerounais Paul Biya le 20 juin 1983 à l’aéroport de Yaoundé : L’ancien président français était venu tenter de résoudre le différend entre Ahidjo et l’actuel président du Kameroun (une visite officielle au Kameroun qui a duré deux jours; l’animosité entre François Mitterrand et Amadou Ahidjo n’était un secret pour personne; l’ancien président français est même soupçonné d’avoir poussé Ahmadou Ahidjo à la porte); « Conquêtes coloniales, les Noirs/Africains lèchent les bottes des colons; (L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur s’il se fait des illusions sur la condescendance suspecte d’un maître qui prétend l’affranchir. Seule la lutte libère ) » … (VIDÉO)

Europe-histoire

Devoir de mémoire : Aniaba est un prince Noir/Africain originaire d’Assinie (Côte d’Ivoire); il était le fils de la princesse Ba et d’un chef, il fut adopté par le frère du roi d’Assinie; sa venue en France est liée à l’arrivée en Côte d’Ivoire, en 1687, de deux Négriers Français, (le chevalier d’Amon et le Palois Jean-Baptiste du Casse, directeur de la Compagnie du Sénégal); « Deux ans après la promulgation du Code Noir, ces Négriers viennent prendre contact avec le roi Zéna pour développer la traite, suite à la création, en 1684, de la Compagnie de Guinée »

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Julius Soubise (1754-1798), est né esclave à Saint-Christophe (Saint-Kitts) en 1754; il fut acheté à l’âge de 10 ans en envoyé chez la duchesse de Queensbury, une sexagénaire excentrique et humaniste « La duchesse le mit en pension chez le maître d’armes Domenico Angelo; outre une formation d’escrime très poussée, Soubise reçu également des cours de violon, d’équitation et de comédie »

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L’indemnité imposée par la France à Haïti en 1825, sous le ministère Villèle, un Toulousain ultra-réactionnaire qui était aussi le gendre d’un riche esclavagiste réunionnais : Madame Desbayssans, la France exigea d’Haïti, sous la menace d’un escadron de 14 navires de guerre destinés à une reconquête armée avec la restauration de l’esclavage, une fabuleuse « Indemnité », de 150 millions de francs-or

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