Emeagwali travaille toujours 16 heures par jour, sept jours sur sept, sur un nouveau concept gigantesque. La création d’un super simulateur informatique des courants climatiques sur un siècle. (Un exploit encore inégalé à ce jour !)
Peu de gens savent que le programme de simulation de Phillip Emeagwali a été calculé sur des nombres divinatoires Yoruba basés sur 16 octogrammes (16x16x16x16 = 65,336) et sur le modèle architectural des ruches d’abeilles ce qui lui a permis d’appliquer une modélisation de l’information temporelle et à la fois structurelle et abstraite.
Emeagwali pensait qu’un ordinateur basé sur une conception en nid d’abeille, associé à un certain nombre de probabilités de prédiction, pourrait améliorer son efficacité et c’est à partir de cette idée qu’il a pu réaliser les opérations les plus rapides au monde avec 3,1 milliards de calculs par seconde, soit c’est-à-dire trois fois la vitesse des supercalculateurs de l’époque.
Ce sont donc les codes binaires utilisés dans les processus divinatoires Noirs/Africains, associés à l’observation de la Nature et à la science des fractales qui sont clairement à l’origine de la technologie qui a permis de développer Internet grâce à une vitesse de calcul de 65 335 octets, semblable au point décimal au nombre maximum de 65 336 probabilités divinatoires calculées par les Odu Ifa et les Bamana du Mali.