KONGOLISOLO
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60 ans après l’indépendance, Félix Tshisekedi opte pour la recolonisation du Congo; le président de la République démocratique du Congo a lancé la recolonisation de son pays, 60 ans après son accession à l’indépendance : contrairement à Félix, l’ancien président Joseph Kabila, outre sa dictature et le fait qu’il tuait les Congolais, il tenait tête face aux occidentaux

Kabila avait réussi à limiter les intérêts miniers des occidentaux en leur ravissant beaucoup de carrés miniers et en dotant le pays d’un nouveau code minier qui ne favorise pas totalement les intérêts des entreprises occidentales. En plus, Kabila avait réussi à expulser du Congo l’ambassadeur de l’Union européenne tout en fermant la Maison Schengen de Kinshasa.

Mais Félix Tshisekedi, n’ose rien faire face à l’ingérence étrangère des Occidentaux. Pendant qu’il n’a pas encore levé les mesures de la fermeture des frontières et de la suspension des vols, Félix Tshisekedi accepte qu’une délégation Européenne d’environ 400 personnes viennent, se jouer du Congo et des congolais. Trois vols vont devoir faire la rotation au Congo. 

Comment les dirigeants Européens (de l’UE) et les ministres des affaires étrangères français et belge peuvent se déguiser en humanitaires et Félix Tshisekedi accepte ?

Les Congolais seront-ils des éternels assistés ou dépendants de l’Europe ?? Pourquoi le gouvernement et le peuple Congolais ne peuvent pas prendre leur destin en main ?? Pour former (entraîner) les soldats et les militaires, c’est souvent la Belgique, la France, les États-Unis et Israël qui le font. Si aujourd’hui, le Congo faisait la guerre à la Belgique, il sera difficile que les militaires congolais attaquent leurs maîtres ??

Félix Tshisekedi a donné aux Occidentaux l’opportunité de continuer à se jouer du Congo, d’exploiter ses ressources et d’y semer le chaos dans le but de l’émietter un jour. C’est comme ça, une fois arrivée à Kinshasa, comme toujours, la délégation de l’Union européenne s’est précipitée sur Goma au Nord-Kivu. Pourquoi pas à Lubumbashi, en Équateur ou au Kasaï. Félix Tshisekedi sacrifie son pays et son peuple en faveur de ses bourreaux naturels : les occidentaux et les pays voisins, surtout ceux de l’Est de la RDC.

60 ans après l'indépendance

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