Mais, réexaminent aussi les études approfondies sur la grande civilisation perdue d’avance par les anthropologues de renom, les archéologues, les scientifiques, les historiens de la culture ainsi que par des experts archéoastronomes et dans la science des hiéroglyphes qui cherchent à déchiffrer les codes de l’histoire derrière les aires culturelles de Nabta playa avec sa pierre mystérieuse : son calendrier circulaire et ses mégalithes sphères de l’hérésie par l’archéologie, en dépit d’une richesse de preuves scientifiques solides.
La théorie selon laquelle une civilisation avancée d’Africains réglée dans le Sahara existait longtemps avant celle de l’Égypte pharaonique a été rejetée, et même condamnée par certains égyptologues, les archéologues classiques, ainsi que certains gouvernements.
Aujourd’hui de nouvelles preuves convaincantes, d’égyptologues honnêtes présentent des faits anthropologiques, géologiques, archéologiques, issues des recherches génétiques pour soutenir cette théorie extrêmement égyptienne, se fondent dur des études approfondies à partir des quatre dernières décennies , dont les recherches archeo-astronomiques et hiéroglyphiques montrent comment la culture noire a, au début créé de l’astronomie avec un art rupestre abondant de Gilfkebi, Crebel Uwainat jusqu’aux route commerciales vers la cote méditerranéenne, l’Afrique centrale, le Sinaï.
Les cérémonies spirituelles, le calendrier circulaire et les méga lithes en pierre sur le site cérémonials de Nabta playa que rappellent ceux de Stonehenge, mais beaucoup plus ancien , révèlent que ces peuples stellaires sont les véritables fondateurs de la civilisation égyptienne antique et un ouvrage écrit par un penseur complète l’histoire de la civilisation mondiale, plaçant l’Afrique noire à sa place légitime au centre des origines de l’humanité.
Sources : Robert Beauval Égyptologue « Black Grenesis »
