L’une est une perversion de la vraie signification de sa manifestation ; et l’autre perpétué, c’est l’insulte que les gens disent que les Africains adoraient des choses matérielles comme le Soleil, les Rivières, les Lacs, les Animaux, etc. Ils font abstraction à la manifestation de leurs énergies naturelles que les Africains considéraient au plus haut point, car ces énergies influencent les humains, qu’ils soient conscients ou pas.
Dans un sens qualifié, nous pouvons dire que le Soleil a été utilisé comme une métaphore pour mener à penser à la compréhension de l’ensemble des phénomènes sous le contrôle de la force naturelle étiquetée « Heru ». Et après, notre examen actuel, spécifiquement africain, Heru est en fait la division du métabolisme humain en deux phases : l‘une est caractérisée par l’élévation de la température corporelle ; et l’autre par diminution dont chaque phase possède dans son ensemble de température (tempérament) des fonctions physiologiques et psychiques dépendantes ou associées.
Ceux, qui sont directement liés à Heru et qui dépendent d’une hausse de température au-dessus de la moyenne, peuvent être métaphorisés comme « solaires », un stade extrême, qui avait été considéré comme martial dans lequel la phase opposée est affectée à la Lune, à Mercure et à Saturne. La moyenne entre ces deux extrêmes est affectée à Vénus et à Jupiter.
Heru correspond donc à la phase Solaire du cycle métabolique psycho-physique, qui est fourni par la noradrénaline et d’autres produits chimiques du système nerveux sympathique, autorisant à devenir et de rester éveillé. Une phase nommée « Pert Em Heru » permettait d’extérioriser notre foyer de la conscience, de la raison, de l’attention pour mener à bien notre volonté ou encore d’utiliser les organes et les facultés actives extérieures tels que les yeux, la partie frontale du cerveau, les mains, les jambes, etc.
Dans ce cas, Heru correspondait à notre volonté, à la liberté de suivre ou de rejeter les lois universelles et nos émotions.
By, Fraternité des Bonaabaku aba SeKhemu (Afrique du Sud)