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Mona-Lisa est la déesse-mère Isis : le peintre Léonard de Vinci, en son temps chef du prieuré, aurait mis dans ses peintures des symboles codés de ce secret « La déesse Isis, autre incarnation de cet Éternel féminin, est citée çà et là au cours de l’intrigue »

Le tableau La Joconde serait une représentation d’Isis. Mona-Lisa porterait au cou un pendentif, seulement visible par rayon X, représentant Isis (chapitre 40). De plus, le nom Mona-Lisa serait l’anagramme de Amon L’Isa, une expression qui révélerait que le dieu égyptien Amon a pour contrepartie féminine Isa, variante pictographique d’Isis (chapitre 26).

L’Isis de Lutèce

  • Dan Brown cite aussi la légende de la pseudo-statue d’Isis de l’Abbaye de Saint-Germain-des-Prés détruite en 1514 (chapitre 19). 
  • Toutefois, pour les besoins de l’intrigue, l’église où cette statue était vénérée n’est pas l’abbaye, mais l’église paroissiale de Saint-Sulpice qui a pour pittoresque avantage de renfermer, depuis 1743, un gnomon dont la forme s’inspire des obélisques égyptiens. 
  • Il est à noter qu’un petit opuscule pseudo-scientifique rédigé en 2011 par Thierry Gallier reprend le thème de l’inspiration égyptienne de la Joconde. 
  • Le tableau raconterait par d’ingénieux artifices picturaux le mythe d’Isis et d’Osiris.

Le faux Nouveau Testament

  • Le Nouveau Testament serait alors la version officielle, fausse, d’une vérité que seuls les livres apocryphes auraient conservée : 
  • Jésus est un homme et pas un dieu (le Vatican aurait mis sur pied cette idée pour se donner du poids), sa femme est Marie-Madeleine ; tous deux ouvrent un temps nouveau : l’ère du Verseau, dans laquelle les humains échapperont au pouvoir des dieux et des églises pour vivre de manière autonome.

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