Dans tout le bassin parisien, le culte de la déesse Négro-Égyptienne Isis – dont le nom se retrouve encore aujourd’hui en Afrique sous des formes contemporaines (Iset, Aset, Asita, Aisatu, Sita), était si répandu qu’on y voyait des temples qui lui étaient dédiés, temples d’Isis, partout. « Temple d’Isis ou plus précisément Maison d’Isis, se dit en langue Noire/Africaine pharaonique (Per isis, Parisis, ou By isis). L’historien Hubac Pierre rappelle que (Per isis) était le nom d’une ville située au bord du Nil ».
Cheikh Anta Diop dans (Nations Nègres Et Culture I) confirme que les villes égyptiennes portaient bien le nom (de Maison d’Isis, Per isis, Parisis, Parisii, Parisis, Paris, la Maison ou le Temple d’Isis). Isis est considérée comme la Mère Universelle, la Mère de la Vie, la Mère du Monde. « Concernant Parisis, le petit Larousse illustré dit que c’est l’ancien nom du pays d’Île-de-France qui correspond au comté féodal de Paris. Comme ses ancêtres Noirs/Africains, Parisis, devenu Paris par la corruption du temps, est lié à la symbolique de l’eau, bâtie au cœur d’une plaine bâtie par la Seine ».
Qui pourrait croire qu’il s’agit d’une religion Noire/Africaine dont la vigueur et l’influence se sont étendues au-delà des rives du Nil, (de l’Éthiopie, de la Nubie et du Soudan), jusqu’à l’un des peuples les plus fiers de son influence au monde ? Doit le nom de sa capitale, Paris. Les temples d’Isis, autrement appelé (Aset/Iset), Mère Lumière et Mère de Lumière qui dans ses bras porte la Lumière incarnée dans l’enfant Horo ou Horus, ces temples après avoir illuminé l’Afrique, fécondé l’Europe (la France).
Cette page d’histoire qui n’est pas criée sur les toits en surprendrait plus d’un, à commencer par les Noirs/Africains, aliénés par des siècles de domination culturelle et politique européenne, incapables de s’imaginer autrement que comme vassalité, vassalitude, servitude.
Cependant, ce sont des faits simples et vérifiables qui donnent aux peuples du monde l’intelligence qu’ils méritent, car l’histoire les a élevés à la reconnaissance des autres en tant que producteurs, inventeurs, innovateurs et contributeurs au progrès des civilisations. humain.