KONGOLISOLO
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Devoir de Mémoire – Quand on ne sait pas où l’on va, tous les chemins mènent à la perdition et quand on imite quelque chose, on ne le réinvente pas, les choses doivent être claires entre nous : En revanche, il ne peut pas y avoir deux symboles de la vie éternelle, c’est presque impossible, soit on le réajuste par rapport à notre propre paradigme, soit on traduit le culte originel dans notre propre langage, en lui donnant une autre image, mais on ne le réinvente pas, (À titre d’illustration, KongoLisolo ne peut pas être inventé deux ou trois fois, on peut le réajuster selon notre perception, nos désirs, et selon ce qu’on attend de la capacité d’adaptation du travailleur, mais KongoLisolo reste toujours unique en son genre); « Celui qui l’a inventé pour la première fois a produit une œuvre universelle »

Dans le cas des soi-disant Saintes Écritures dans la religion chrétienne par exemple, on nous dit que Jésus-Christ ressusciterait trois jours après sa mort de la même manière qu’Osiris; Or Osiris a vécu vers 7000 ans avant J.C, et son tombeau avait été retrouvé, ainsi que son sarcophage et surtout sa momie, ce qui prouve qu’il a été touché. Par contre, dans le cas de Jésus-Christ, qui, comme par hasard, était monté au ciel, pour ne rien justifier de sa vie sur terre, (aujourd’hui, personne ne peut prouver scientifiquement son existence sur terre hormis les textes apocryphes de la Bible).

Eh! Bien, nous sommes confrontés à un cas d’illusion : Jésus-Christ serait le symbole de la vie éternelle, certes, mais ce qui est sûr et certain, c’est qu’il est tard, car Osiris était il y a 7000 ans, et nous venons de dire qu’il ne peut y avoir deux symboles de la vie éternelle. « Dire que votre soi-disant Jésus-Christ était le symbole de la vie éternelle est absurde; au contraire, c’est une copie de l’original. (C’est-à-dire une utopie, un mensonge, c’est faux et très faux) ».

Chers frères et sœurs Noirs/Africains, voici les paroles cachées de votre soi-disant Jésus-Christ : La découverte de Nag Hammadi en Égypte, en décembre 1945, près de la ville de Nag Hammadi, des paysans Égyptiens ont exhumé par hasard une jarre contenant treize codex de papyrus, volumes reliés à plat comme nos livres et recouverts de cuir. « Ils venaient de faire l’une des plus formidables découvertes de manuscrits anciens du XXe siècle. (Dans un état de conservation variable, les 1 156 pages inscrites contiennent 54 œuvres différentes, la plupart inconnues ailleurs, dont le célèbre Évangile selon Thomas, recueil de paroles attribuées à votre soi-disant Jésus-Christ) ».

L’Évangile de Thomas, l’Évangile de Philippe, l’Évangile des Égyptiens, l’Évangile de Marie-Madeleine et environ 50 évangiles et documents chrétiens primitifs ont été découverts, enterrés secrètement, à Nag Hammadi en Égypte. Ces évangiles et documents anciens contenaient beaucoup de sagesse spirituelle du vrai Jésus pour ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Ces merveilleux documents, datant de l’époque de Jésus, n’avaient pas été censurés par l’Empire romain et, par conséquent, ils diffèrent grandement de la version néotestamentaire de la Bible, approuvée par l’Empire romain au concile de Nicée.

Pour comprendre qui était réellement Jésus, il faut lire attentivement le Discours de l’Ogdoade et l’Ennéade. « Voici un dialogue entre un fils et son père (l’Hermès grec est en définitive le Dieu Égyptien Jéhouty-Thoth). D’après un texte d’EDFOU (Thoth a créé le monde par la Parole); il est assimilé au LOGOS (PAROLE), attribut qui sera donné au Christ 2000 ans plus tard ».

Discours de l’Ogdoade et de l’Ennéade (les paroles attribuées à votre soi-disant nouveau Jésus-Christ) :

  • FILS : Mon père, tu m’as promis hier de conduire mon intellect jusque dans l’Ogdoade et de me conduire ensuite moi-même jusque dans l’Ennéade. Tu as dit : c’est l’ordre de la tradition.
  • HERMÈS : Oui, mon enfant, c’est bien l’ordre ; mais la promesse fut faite selon la condition humaine. Je te l’ai bien dit dès que j’eus commencé de te faire cette promesse ; je te l’ai dit, si tu t’en souviens, à chaque degré. Quand j’eus reçu l’Esprit grâce à la Puissance, je te transmis l’énergie : car, si l’intellection relève de toi, c’est en moi, pour ainsi dire, que la Puissance est conçue. En effet, lorsque j’eus conçu par la source qui coule en moi, je l’engendrai.
  • FILS : Mon père, tu m’as bien exposé chaque propos. Pourtant, je suis déconcerté par ce propos que tu as tenu à l’instant. Tu as dit en effet : (C’est la Puissance qui est en moi);
  • HERMÈS : Je l’ai engendrée comme on engendre les enfants;
  • FILS : Ta parole est vraie; désormais, elle ne prête plus à contradiction. Ô, mon père, commence le discours de l’Ogdoade et de l’Ennéade, et compte-moi aussi au nombre de mes frères;
  • HERMÈS : Prions, mon enfant, le Père du tout, avec tes frères qui sont mes fils, afin qu’il dispense l’Esprit, et que je parle;
  • FILS : Comment prie-t-on, mon père, en union avec les descendances ?
  • HERMÈS : Mon enfant, Cela n’est ni une nécessité ni une loi;
  • FILS : suivant ce qui a été dit, prions tous deux, mon père;
  • HERMÈS : Récitant une sorte de préface liturgique. Mon enfant, il convient que, de toute notre pensée, de tout notre cœur et de toute notre âme, nous priions Dieu, et lui demandions que le don de l’Ogdoade s’étende jusqu’à nous, et que chacun de nous reçoive par là ce qui lui est propre : à toi il appartient de saisir par l’intelligence, et à moi de pouvoir exprimer le discours grâce à la source qui coule en moi.
  • FILS : Prions, mon père.

HERMÈS et son FILS, ensemble :

Je t’invoque, toi qui es celui qui règne sur le royaume du pouvoir. Celui dont la parole est faite naissance de lumière, et dont les paroles sont immortelles, éternelles, inaltérables. Celui dont la volonté engendre la vie manifestée en tout lieu, et dont la nature donne forme à l’essence. C’est de lui que se meuvent les âmes de l’Ogdoade et des anges. Car c’est lui dont la Parole s’étend à chacun de ceux qui existent; sa providence atteint chacun dans le lieu.

Il engendre chacun, lui qui a divisé l’Éon entre les Esprits. Il a créé toutes choses, lui qui en est le contenant et le soutien. Tous les êtres dans leur plénitude. Dieu invisible, à qui l’on s’adresse en silence, dont l’image se meut en se gouvernant et se gouverne en se mouvant. Puissant de puissance, toi qui es plus grand que la grandeur, plus glorieux que les gloires. Seigneur, accorde-nous la sagesse de ta puissance. Parviens à nous, afin que nous puissions participer à la contemplation de l’Ogdoade et de l’Ennéade. Nous avons déjà atteint l’Hebdoade, car nous sommes pieux, nous nous gouvernons selon ta Loi, et nous faisons toujours ta volonté.

En effet, nous avons marché dans ta voie et nous avons laissé derrière nous le mal, pour nous engager dans la contemplation. Seigneur, accorde-nous la vérité dans l’image, accorde-nous, par l’Esprit, de voir la forme de l’image qui est sans défaut ; reçois de nous la réponse du Plérôme par notre action de grâces et reconnais l’Esprit qui est en nous. Car c’est par toi que tout a été animé ; car c’est de toi, l’Inengendré, que vient le Fils. « La génération de Celui qui s’engendre lui-même se fait par toi, comme la génération de tous les êtres engendrés. Reçois de nous les sacrifices de parole que nous t’offrons de tout notre cœur, de toute notre âme et de toute notre force. Sauve ce qui est en nous, et donne-nous la sagesse immortelle ».

  • HERMÈS : Je suis l’Intellect et je vois un autre Intellect qui met l’âme en mouvement. Je l’ai dit, ô mon enfant, je suis l’Intellect. J’ai contemplé ! Il est impossible à la parole de révéler cela. En effet toute l’Ogdoade, ô mon enfant, ainsi que les âmes qui sont en elle et les anges chantent des hymnes en silence, mais à moi, l’Intellect, ils me sont intelligibles;
  • HERMÈS : Chante-la-moi donc, car je suis l’Intellect;
  • FILS : L’Intellect m’est intelligible. Hermès, celui que l’on ne peut interpréter, car il se retranche en lui-même ! C’est pourquoi, il n’est pas de créature qui puisse être privée de ta vie. Car c’est toi le Seigneur des citoyens en tout lieu. Ta providence est une sauvegarde. Je t’invoque, Père, Éon des Éons. Esprit, Être divin, Qui répand en esprit l’eau de pluie sur chacun. Que m’en dis-tu, ô mon Père, Hermès ?
  • HERMÈS : De cela, je ne dis rien, ô mon enfant : il est juste, en effet, devant Dieu, que nous taisions ce qui est caché;
  • FILS : Ô trismégiste, ne permet pas que mon âme soit veuve de la contemplation, Être divin, car tu as pouvoir sur toute chose, comme maître de tout le lieu;
  • HERMÈS : Ô trismégiste, ne permet pas que mon âme soit veuve de la contemplation, Être divin, car tu as pouvoir sur toute chose, comme maître de tout le lieu. Demande ce que tu veux en silence.

Le Fils se recueille quelques instants en silence :

  • HERMÈS : Puisque tu as atteint le repos, vaque à l’action de grâces, car tu as trouvé ce que tu cherchais;
  • FILS : Mais comment faut-il, ô mon Père, que je rende grâce, puisque mon cœur est plein à déborder ?
  • HERMÈS : Il te faut pourtant faire monter ton action 15 de grâces jusqu’à Dieu et qu’elle soit écrite en ce livre impérissable;
  • FILS : Je ferai monter l’action de grâces du fond de ma cour, Pour prier le terme du tout et le Principe du Principe. L’immortelle découverte de la quête des hommes, celui qui fait naître la Lumière et la vérité, celui qui sème le Verbe, l’amour de la vie éternelle. Nul discours caché ne saurait pas parler de toi, Seigneur ! C’est pourquoi mon intellect veut te chanter ses hymnes chaque jour. Je suis l’instrument de ton Esprit, l’Intellect est ton plectre, et ton conseil joue sur moi un psaume. Je me vois moi-même. J’ai reçu la puissance de toi, car ton amour est venu jusqu’à nous;
  • HERMÈS : Bien, ô mon enfant !
  • FILS : Ô grâce ! Après cela, je rends grâce. En te chantant un hymne, car j’ai été vivifié par toi, quand tu eus fait de moi un sage;
  • HERMÈS : Ce livre, ô mon enfant, écris-le pour le Temple de Diospolis en caractères hiéroglyphiques en le dédiant à l’Ogdoade qui révèle l’Ennéade;
  • FILS : Je le ferai, ô mon Père, comme tu me le prescris maintenant. Ô, mon Père, le texte du livre, l’écrirai-je sur des stèles couleur turquoise ??
  • HERMÈS : Ô mon enfant, ce livre, il convient de l’écrire sur des stèles couleur turquoise en caractères hiéroglyphiques, car c’est l’Intellect lui-même qui est devenu leur protecteur. C’est pourquoi, j’ordonne que ce discours soit gravé sur de la pierre et que tu le mettes à l’intérieur de mon parvis, sous la surveillance de huit gardiens et des neuf du Soleil. Que les gardiens mâles, à droite, aient un visage de grenouille et les femelles, à gauche, un visage de chat. Place en outre une pierre de lait en dessous des tables couleur turquoise, qui soit de forme quadrangulaire et écrit le Nom sur la table de pierre couleur saphir, en caractères hiéroglyphiques. Ô mon enfant, tu placeras cette pierre lorsque je serai dans la constellation de la Vierge, et que le Soleil sera dans la première moitié du jour, quand quinze degrés m’auront dépassé;
  • FILS : Ô mon Père, toutes les paroles que tu dis, je les accomplirai avec zèle;
  • HERMÈS : Écris donc une imprécation sur le livre, afin que le Nom ne soit pas détourné à des fins mauvaises par ceux qui liront le livre et dont ils ne luttent pas non plus contre les œuvres de la Destinée. Qu’ils se soumettent plutôt à la loi de Dieu, sans l’avoir transgressée en rien, mais qu’avec pureté, ils demandent à Dieu sagesse et gnose. Et quiconque n’aura pas été tout d’abord engendré par Dieu, en usant des Leçons générales et des Leçons détaillées, ne pourra pas lire ce qui est écrit dans ce livre, bien que sa conscience soit pure en ce qui le concerne, qu’il ne commette rien de laid et n’y consente nullement. Cependant, parcourant chaque degré, il entrera dans la voie d’immortalité et ainsi, il parviendra à l’intellection de l’Ogdoade qui révèle l’Ennéade;
  • FILS : C’est ce que je ferai, ô mon Père;
  • HERMÈS : Voici l’imprécation : je conjure, quiconque lira ce livre saint, par le ciel et la terre, et le feu, et l’eau, par les Sept Ousiarques. Et l’Esprit démiurgique qui est en eux, par le Dieu engendré, celui-qui-s’engendre-lui-même. Et l’Engendré, qu’il respecte ce qu’a dit Hermès !

Quant à ceux qui respectent cette malédiction, Dieu les rejoindra, ainsi que tous ceux que nous avons nommés, mais quant à ceux qui méprisent cette malédiction, que la colère de chacun des (divinités nommées) tombe sur la tête de chacun d’eux ! Cela est vraiment parfait, ô mon enfant.

 

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