Voilà pourquoi leurs sciences, aussi appelées Mystères, étaient le produit des secrets des Neteru, autrement dit ceux des Gardiens de la Nature. Tout comme les mystères, les secrets scientifiques n’étaient pas révélés au grand public pour y accéder, il fallait être initié. Cette méthode était un garde-fou pour ceux qui savaient, mais aussi un rempart pour ceux qui ne savaient pas, et qui pouvaient faire un mauvais usage ou un abus des connaissances scientifiques.
Imaginez la radioactivité, on obtient de l’électricité grâce à l’énergie nucléaire, c’est le côté positif. La même énergie sert à fabriquer des arsenaux d’armes de destruction massive, c’est l’utilisation négative des connaissances scientifiques.
C’est pourquoi, au lendemain du largage des bombes atomiques Américaines sur Nagasaki et Hiroshima au Japon, Albert Einstein s’exclamait : (Il y a des choses que nous ne voudrions pas faire. Car les Hommes ont utilisé leurs travaux sur la théorie de la relativité pour fabriquer des bombes qui ont dévasté des villes entières et tué des milliers de personnes en un temps record). « En réalité, ce que nous appelons le progrès scientifique et technologique est à la racine de la dépravation morale et nous pousse droit dans le mur, nous plaçant au bord d’un gouffre écologique sans précédent ».
C’est pourquoi, dans l’Égypte antique et ailleurs en Afrique, il n’y avait que des génies et des initiés qui avaient accès aux secrets scientifiques/mystères dans le temple des mystères. Les mortels médiocres ou la majorité des mortels ordinaires n’ont accédé aux connaissances ordinaires que pour le bien équilibré de l’humanité. La science sans conscience n’est que la ruine de l’âme (By; Rabelais).
