Nous sommes encore dans le flou lorsqu’il s’agit de retracer les causes profondes de notre déclin (pauvreté), pour ceux d’entre nous qui ont eu le courage et la curiosité de jeter un coup œil dans la bibliothèque du passé.
Il en ressort toujours un sentiment (d’émerveillement, de surprise, de fierté), mais aussi, malheureusement, de grande incompréhension. Un malentendu fondé sur les incohérences des récits de l’époque de l’esclavage, celle de la colonisation et celle de la pseudo-postcolonisation.
Tout devient perplexe à ce niveau. Il faut donc revenir à soi, se mettre par le prisme de la critique et de l’autocritique. Nous devons avoir une compréhension logique cohérente de notre situation avant de nous redéfinir et de nous profiler en agissant.