KONGOLISOLO
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Quiconque se réjouit de la présence d’un enfant se réjouit de la vie : nous apprenons vraiment à connaître les capacités de la création, seulement à travers la connaissance de la création d’un enfant « Mais cela inclut aussi la connaissance de toutes les parties représentées par les ancêtres humains, les plantes (…), Et les autres créatures et ainsi de suite jusqu’à ce que nous comprenions tout le reste dans l’écosystème universel »

À chaque conception de la femme, nous nous attendons à la venue au monde d’une nouvelle créature. À la naissance, le nouveau-né, se mettant à pleurer, nous rassure sur sa présence parmi nous. Petit à petit, le petit être, venu d’on ne sait où, prend forme, grandit et devient un élément ou un facteur vivant de notre vie.

La science peut fournir des explications sur la conception, la naissance et la croissance d’un enfant, mais cela ne suffit pas : « Le mystère demeure ».

La vie reste un mystère car l’homme n’a jamais réussi à la créer. Il réussit à procréer, mais il est toujours incapable de créer la vie. Par conséquent, l’homme devrait considérer la vie avec révérence. Lorsqu’il aura appris à se comporter en laboratoire à l’approche de l’autel de l’église, il découvrira peu à peu les secrets les plus profonds de la vie. C’est alors qu’il créera la vie et démêlera le mystère de la création.



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