Parmi les divinités parfois représentées en vert, on note également le dieu Ptah et la déesse Maât. Le vert pourrait être obtenu à partir de malachite ou d’un mélange de bleu et de jaune.
Les anciens Égyptiens donnaient aux couleurs principales une valeur symbolique résultant de la perception qu’ils avaient des phénomènes naturels corrélés à ces couleurs : le jaune du soleil, le vert de la végétation, le Noir de la terre fertile, le bleu du ciel ou le rouge du désert. « Pour la peinture religieuse, les prêtres n’autorisaient généralement qu’un nombre limité de couleurs : Blanc, Noir, les trois couleurs de base (rouge, jaune et bleu), ainsi que leurs combinaisons (vert, marron, rose et gris) ».
La peinture se fait par couleur unie; seule la période amarnienne dérogera à cette règle en proposant de subtils dégradés.