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Devoir de Mémoire – C’est vraiment triste et inoubliable, nous n’oublierons jamais : L’histoire de l’esclavage doit être racontée sans occulter les actes d’inhumanité et d’humiliation vécus par nos ancêtres, ainsi que l’héroïsme requis par leur résistance qui a permis notre survie sur des terres étrangères, (il y a un oubli volontaire des différentes facettes de la vie quotidienne de l’esclave, et beaucoup d’enseignants évitent de parler des tortures subies par nos ancêtres); « En prétendant que nos enfants Noirs/Africains vivent déjà de nombreuses difficultés et que le rappel d’événements extrêmement violents perpétrés par l’homme Blanc/Chrétien/Esclavagiste affectera l’estime de soi de l’enfant Noir/Africain et sera une occasion de moquerie en classe »

Cependant, les enseignants/éducateurs ont tort, car l’histoire ne doit pas et ne peut pas être cachée et retouchée selon les caprices des universitaires/savants qui vivent en embellissant l’esclavage pour satisfaire la fausse démocratie raciale. « Pendant l’esclavage, diverses formes de torture étaient perpétrées sans distinction de sexe et d’âge, mais les pires horreurs ont été infligées aux enfants Noirs/Africains, et dans la mémoire des Noirs/Africains aux États-Unis, ils se souviennent de l’époque où ils étaient utilisés comme appât pour les alligators en Floride ».

Chers Noirs/Africains, si vous enseignez à un enfant Noir/Africain que son histoire a commencé avec l’esclavage, vous risquez de le paralyser pour le reste de sa vie, car cela encourage une nouvelle forme d’esclavage et l’asservissement de son esprit. (Alors ne limitons pas notre histoire à celle des envahisseurs ou à la partie la plus laide, la plus brutale et la plus traumatisante de celle-ci. « Commençons par le commencement et ce commencement ne commence pas par l’esclavage, il commence par les grandes civilisations peuplées de rois et de reines, mais aussi de maîtres des femmes et des hommes Noirs/Africains et arbitres de leur propre destin ».

Le vice du dialogue des cultures, ce que les Blancs/Occidentaux présentent aux Noirs/Africains comme universalisme et dialogue des cultures, n’est qu’une approche tirée par les cheveux, un vice qui ne dit pas son nom :

Le drame c’est que les Noirs/Africains, croient en cela (Kirikou, Kimbo et autres) sont des caricatures faites par les Blancs/Occidentaux pour insulter l’Afrique et perpétuer les clichés et les stéréotypes, mais il suffit d’écouter les différents accents des personnages de Kimbo, par exemple : (C’est curieux que les parents aient des accents purement Noirs/Africains, grandement déformés et exagérés par les réalisateurs, alors que les enfants parlent avec un accent français, c’est très curieux, on n’a jamais vu ça en Afrique).

Cela nous permet de faire un parallèle avec le Crocodile du Botswanga, le nouveau film réalisé par les Nègres de service Ngidjol et Eboué et leurs maîtres Blancs/Occidentaux pour insulter l’Afrique. En effet, dans la bande annonce, on remarque que l’accent de Ngijol, qui incarne le dictateur Noir/Africain, est exagérément exagéré pour plaire aux maîtres Blancs/Occidentaux.

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