Le pire c’est qu’ils ne font pas la même chose qu’un Noir/Africain, quel que soit le leader, qui meurt : Bokassa, Blaise Compaoré, Boni Yayi, Ali Bongo Ondimba, par leur comportement, on peut déduire qu’ils étaient des esclaves de maison, et qu’ils juraient cela, par tous les moyens, pour chercher à être aimés des Européens, de leurs maîtres Blancs/Occidentaux, et leurs anciennes puissances coloniales !
La vraie dignité des hommes peut être lue sur leurs visages – Ainsi va l’Afrique : « D’un côté, (les Nègres de maison) et de l’autre côté (les fils dignes et jures au nom du peuple Noir/Africain) ». Pourtant la vraie dignité peut être lue sur les visages, rien qu’aux simples regards similaires des vrais leaders.
Le jour où vous entendrez les Blancs/Occidentaux parler de moi en bien, ce jour-là, ne partagez plus vos secrets avec moi, car cela voudra dire que je vous aurais déjà trahis (By, Samora Machel). L’histoire du Kongo ne s’écrira pas à Paris, ni à Bruxelles, ni à Washington, mais bien au Kongo (By, Patrice E. Lumumba).
By, DKB