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Symbolisme et anthropomorphisme : contribution à la Théorie du Tout « La théorie des cordes et la gravitation quantique à boucles en Égypte »

  • 1. Nwnw / Nww (Nou Nou / Nou Ou). Ce hiéroglyphe désigne l’état chaotique primordial d’où sortira le Dieu Râ. On peut considérer le Noun comme un concept, mais c’est aussi un dieu anthropomorphe avec un visage, un buste et deux bras, et qui se mêle des affaires humaines.

Après la création, Noun a joué un rôle dans la destruction de l’humanité quand les hommes n’ont plus respecté et n’ont plus obéi à Râ dans sa vieillesse. Râ a rassemblé tous les dieux et déesses, y compris Noun. Noun a proposé que Râ jette son œil pour détruire l’humanité. Et l’œil de Râ, sous la forme de la déesse Sekhmet, voyage à travers l’Égypte, tuant tous les mortels.

Scientifiques, physiciens, humains : « Posez tous vos crayons à vie si vous ne voulez pas que NOUN envoie Râ vous infligez la plus grande déculottée Pharaonique de votre vie ».

Les Égyptiens Anciens avaient, bien avant LES THÉORICIENS DES CORDES, identifié la problématique de la quantification de l’espace-temps. Voyez-vous sur la figure n°1 : ils avaient écrit NOUN (le chaos primordial) avec des CORDES VIBRANTES. Cette preuve hiéroglyphique (donc archéologique) nous montre que l’Occident Savant continue de plagier l’Égypte Antique alors que les scribes égyptiens possédaient DÉJÀ la théorie des cordes dans les papyrus. Mais il y a encore mieux pour vous faire comprendre « L’ENJEU SCIENTIFIQUE » du propos.

Le DIEU THOT NJEHOUTI (ou Djehouty) était un scientifique. Il a laissé à l’humanité un postulat appelé le « PRINCIPE DE VIBRATION ». Mais alors, que dit-il ce principe ? Il nous dit que : « Rien ne repose, tout remue, TOUT VIBRE ». Le mouvement se manifeste partout dans l’univers. Ainsi, toutes les particules de la matière sont douées de mouvement circulaire, depuis les « Corpuscules » jusqu’aux soleils.

Les Égyptiens savaient déjà que chaque être, chaque particule est animé(e) de sa propre vibration et capte une multitude d’autres qui l’atteignent et l’influencent.

Quand, dans les années 1970, Gabriele Veneziano et les autres pseudo-pères fondateurs de la « THÉORIE DES CORDES » Partent de l’idée que les particules ne seraient pas des objets ponctuels, mais des sortes de « CORDES VIBRANTES », en réalité, les ÉGYPTIENS ANCIENS CONNAISSAIENT DÉJÀ CELA IL Y A AU MOINS 5000 ANS ! Le véritable PÈRE FONDATEUR DE LA THÉORIE DES CORDES EST THOT NJEHOUTI.

  • A) Lorsque Niels BOHR propose pour la première fois en 1923 « LE PRINCIPE DE CORRESPONDANCE » en physique, en établissant que le comportement quantique d’un système peut se réduire à un comportement de physique classique, il stipule qu’à la limite de grands nombres quantiques, caractérisant les systèmes atomiques, on doit retrouver les formules de la physique classique. 

IL N’Y A RIEN DE NOUVEAU LÀ-DEDANS : LES ÉGYPTIENS ANCIENS CONNAISSAIENT DÉJÀ CE PRINCIPE. Le principe égyptien de correspondance disait déjà, il y a 5 000 ans (chronologie courte, car on peut même remonter à -10.000 ans), « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, ce qui est en bas est comme ce qui est en haut » (les Occidentaux ont récupéré sur base de ce qu’ils appellent « l’axiome d’Hermes » ou « axiome hermétique. »).

  • B) Lorsque ce même Niels BOHR introduit « LE PRINCIPE DE COMPLÉMENTARITÉ » comme approche philosophique aux phénomènes apparemment contradictoires de la mécanique quantique, il ne fait en fait que PLAGIER les connaissances de l’Égypte Ancienne.

Quand vous regardez l’Ogdoade d’Hermopolis, le principe de complémentarité est partout. C’est le groupe des 8 DIEUX qui représentent en fait « LA VOIE OCTUPLE » que la physique vient à peine de découvrir dans les années 1960 via Murray Gell-Mann en organisant les baryons et mésons.

  • C) En physique, le principe de causalité affirme que si un phénomène (nommé cause) produit un autre phénomène (nommé effet), alors l’effet ne peut précéder la cause. À ce jour, il n’a pas été mis en défaut par l’expérience, mais certaines théories envisagent une causalité inversée. 

L’Égypte Antique, encore une fois, le savait déjà ! Qu’on arrête de vous leurrer ! Thot Njehouti appelait cela le « PRINCIPE DE CAUSE ET D’EFFET » en disant que : « Toute Cause a son Effet ; tout Effet a sa Cause ; tout arrive conformément à la Loi ; la Chance n’est qu’un nom donné à la Loi méconnue ; il y a de nombreux plans de causalité, mais rien n’échappe à la Loi ».

  • 2. TYET. Le tyet ou nœud d’Isis représente les BOUCLES de la gravitation quantique à boucles. Que les scientifiques Occidentaux ne vous leurrent pas. Ces boucles sont des atomes d’espace-temps inspirés de la connaissance d’ATOUM. Vous les voyez dans la figure n°2.

  • 3. LES CORDES ÉNERGÉTIQUES OU LES BOUCLES sont appelées NiNi en égyptien. C’est un redoublement et une intensification de le hiéroglyphe « N » qui est le signe même de l’énergie. On le voit d’ailleurs sortir des mains des déesses qui « magnétisent », ce qui montre que les Égyptiens anciens connaissaient déjà les champs électromagnétiques, la gravitation, et les autres interactions fondamentales de la nature (appelée NTR en égyptien, un énième plagiat de la science ancestrale).

Le « Tout dans tout » en Égypte. « S‘il est vrai que tout est dans LE TOUT, il est également vrai que LE TOUT est dans tout. Celui qui comprend parfaitement cette vérité possède déjà un grand savoir », disait encore Thot Njehouti, IL SAVAIT DÉJÀ TOUT SUR TOUT, NOTAMMENT SUR LA THÉORIE DU TOUT.

Conclusion : POSEZ LES CRAYONS, il ne sert à rien de vous lever le matin pour aller dans vos laboratoires de physique ou d’astrophysique, il faut impérativement apprendre à lire les hiéroglyphes qui contiennent TOUT LE SAVOIR du passé, du présent et du futur, c’est-à-dire même l’ébauche de prédictions d’ici à 5 milliards d’années.

 

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