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La race Noire, que je vais appeler la race Sudéenne en raison de son origine équatoriale, contrairement à la race blanche Boréenne, était installé en Afrique où elle possédait de puissants royaumes, mais aussi l’Arabie Saoudite et la côte sud de l’Asie

Une infinité de Monuments portent encore leurs traits africains jusqu’à nos jours dans toutes ces régions qui donnent des preuves de la grandeur du Peuple auquel ils appartenaient et les énormes constructions de Mahabalipuram, les grottes d’Ellora, les temples d’Ishtakar, les remparts du Caucase, les pyramides de Memphis, mais aussi d’autres œuvres que l’imagination étonnée attribue encore à des Géants.

Cette puissante race Sudéenne, très répandue en Afrique ainsi qu’en Asie du Sud à l’époque, ne savait pas beaucoup de chose sur les régions septentrionales du monde et avait juste une vague idée de certaines parties de l’Europe, où ils ont aperçu pour la première fois des hommes Blancs à la lumière de leurs Forêts qui eux aussi rencontraient des Hommes avec une couleur différente de la leur même si cette différence n’a pas été pas la seule chose qui les a Marqués.

Ils avaient vu des hommes Noirs, portant des vêtements extraordinaires, des coquilles radiantes qui manipulaient parfaitement des armes terribles encore inconnues dans ces régions. Ils avaient une cavalerie nombreuse et pouvaient se battre sur des tours formidables qui se déplaçaient comme des géants et pouvant jeter la mort de partout. En outre, si la première réaction a été la perplexité, certaines femmes Blanches n’ont pas été difficile à séduire parce qu’elles étaient trop malheureuses dans leur propre patrie et de retour dans leurs maisons lorsqu’elles montraient les bijoux ou les cadeaux qu’elles avaient reçu, il n’y avait pas besoin de plus pour tourner la tête des autres, c’est ainsi qu’un grand nombre d’entre elles Fuyaient dans la nuit, pour aller rejoindre les nouveaux Arrivants. 

Les pères et les maris en colère prenaient leurs faibles armes pour obtenir le retour de leurs Filles et de leurs femmes, mais étant attendus, l’issue de la lutte ne faisait aucun doute, beaucoup étaient tués, une autre partie fait prisonniers tandis que le reste s’enfuyaient.

By, Fabre d’Olivet : historien et écrivain français (1767-1825).

La race Noire

 

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