Le serekh a été la première convention utilisée pour mettre à part le nom royal dans l’iconographie égyptienne ancienne, antérieure à la cartouche tard et mieux connue par quatre dynasties et de cinq à sept cents ans, avec un nom Nebty exprimée avec le hiéroglyphe plateau de jeu, qui se lit IMN or Emen, Amon ou Imana. « Les origines du serekh remontent à l’époque protodynastique et il sera utilisé jusqu’à l’Ancien Empire. Ainsi, les noms des rois de la Dynastie égyptienne zéro sont inscrits dans un serekh ».
Le serekh, en hiéroglyphes, se présente comme un rectangle entourant le nom hiéroglyphique du roi, surmonté d’un faucon (symbole du dieu Horus) et placé au-dessus de la façade du palais royal. Le rectangle pourrait figurer un plan de ce même palais. Ce qui accréditerait la thèse qui voit dans le serekh, à l’instar du cartouche, une protection du nom du roi, contre les forces négatives.
By, Gakongo