En Afrique, certains dirigeants prétendent être à la tête des républiques, mais rêvent d’un pouvoir perpétuel et incontesté au sommet des États. Idriss Déby, interrogé sur la longévité du pouvoir des chefs d’État Noirs/Africains, le président tchadien l’avoue et lance à la France ses quatre vérités.
Idriss Déby, le président du Tchad : C’est la France qui m’a obligé à modifier la constitution pour rester au pouvoir, et aujourd’hui, c’est la France qui ose me critiquer. Sans indignation, la messe est dite (le règne des pantins n’a pas encore dit son dernier mot).
By, Georges Clemenceau