Leur habileté dans les forces mécaniques étonne encore la postérité, qui ne peut encore concevoir par quels moyens des pierres de trente, quarante, et même soixante mètres de longueur et de vingt mètres de profondeur ont pu être élevées, ou même soulevées comme on le voit dans les temples ruinés de Baalbek et de Thèbes, tandis que leurs constructions, qui composent encore les pagodes de l’Inde, ne sont guère moins merveilleuses d’élévation et de grandeur.
Il semble y avoir une grande peur de parler de ces peuples anciens qui ont bâti ces puissantes cités antiques, dont les ruines s’étendent en succession ininterrompue depuis les côtes maritimes et les zones fluviales de l’Afrique jusqu’à tout autour des rivages de la mer Méditerranée. « Il reste encore de nombreuses traces de cet empire cinglant dont les travaux semblent avoir été exécutés par des géants mais qui en réalité, sont les marques étendues du génie koushit déjà expérimentées par les grands scientifiques du monde dit primitif ».
La culture de l’Égypte antique n’a pas vu le jour dans le Bas-Nil comme on nous l’enseigne, en fait, ce fut d’abord l’ancien Empire Koushite qui selon de lourdes autorités, régna sur les trois Continents pendant des millénaires. « Le monde ne doit plus attendre pour tester cette Vérité avec les témoins antiques de leurs Réalisations gigantesques, à côté desquelles les petites conquêtes d’Alexandre le Grand, de Jules César, de Gengis Khan ou de Napoléon Bonaparte, s’effacent et deviennent insignifiantes ».
L’Histoire générale nous apprend elle-même qu’au début de l’histoire écrite, la civilisation du Bas-Nil était déjà très Ancienne et surtout qu’il s’agissait d’une Culture qui s’était d’abord développée à partir du Sud, mais pour laquelle l’ensemble du monde scientifique occidental reste étonnamment muet sur tout ce qui se cache réellement derrière l’Égypte historique. « Source : Drusilla Dunjee Houston : (merveilleux Éthiopiens de l’ancien Empire Cushite) ».