À l’origine, les coups étaient autorisés (mains, pieds, tête; Etc), mais celles-ci ont naturellement tendance à être oubliées lors des entraînements et des compétitions; les deux concurrents chercheront une faute ou le bon moment en balançant les bras vers l’avant afin d’attraper l’adversaire.
Les égratignures au dos sont courantes après un combat Libanda. Cette lutte est menée au rythme des percussions, accompagnées de chants de bravoure et de défi, de figures de danse, de pratiques magiques et de l’évocation des anciens. En référence au léopard, symbole de la Libanda, les lutteurs se peignent de taches de peinture blanche sur tout le corps.
Plus qu’un sport de combat, la Líbanda est aussi un rite de passage, la victoire est un triomphe sur soi-même. « La lutte Libanda est sans doute l’un des sports de combat Négro/Africains qui a donné naissance à la Capoeira au Brésil pendant l’esclavage ».