Ne sachant pas ce qu’il deviendra après la mort, l’homme se trouve confronté à l’énigme de la vie. Il se présente comme étant issu d’une origine divine alors qu’il n’en est rien, mais il nourrit de le devenir un jour. D’où la pluralité ses religions, des sectes à caractère philosophiques et métaphysiques. C’est la peur du vide sidéral, la peur du néant et de l’inconnu, la peur de la mort et de l’inexistence, la peur de l’infini que ces religions et ces sectes proposent et imposent des idéologies à leurs adeptes.
La peur de l’inconnu conduit le plus souvent au mensonge, qui plonge les croyants dans l’inconnu. Alors, l’homme s’attache à la vie, aux biens matériels, à des idéologies autant stupide les unes que les autres et perd son temps en vanité mondaine pour se retrouver nu à la fin de sa vie face à sa peur de l’inconnu qu’il n’a pas su vaincre de son vivant.
Mais en observant objectivement les lois de la physique, si jamais la force d’attraction devient plus forte que la force de répulsion, les soleils et les planètes formeront une boule de feu et de matière compacte. Et ce serait la fin de la vie, on reviendrait au big bang initial. L’univers est régi par des algorithmes binaires et en parfait équilibre et unité. Raison pour laquelle, il faut dépasser les débats sur les conceptions des vérités et mensonges sur fond de prosélytisme pour trouver la seule vérité. Car s’il y a vérité, elle ne peut pas être multiple étant donné que tout est régi par la même loi qui résonne du macrocosme au microcosme.
Par conséquent, tout est lié à une seule idée et à une seule cause. Et cette unité résulte de l’analogie des contraires, qui forment l’équilibre parfait et éternel des forces que nous devons vaincre pour trouver cette vérité afin de sortir du mensonge et de l’illusion de la matière brute, du chaos dans lequel nous vivons. . Sinon notre vie (nos expériences de vie) sera un échec éternel.
